Retours de lecture sur les ouvrages de Parme Ceriset

Revue possibles la poesie de parme ceriset par pierre perinLes mots de Pierre Perrin dans la revue Possibles au sujet des recueils, du roman, du parcours et de la poésie de Parme Ceriset : 

Parme Ceriset, Flambeaux de vie, Pierre Turcotte éditeur, 60 pages, 13,50 euros. Note de lecture par Pierre Perrin.

Jeune médecin, elle a été sauvée par une greffe des poumons en 2008. Elle raconte comment elle a vécu la maladie, la santé recouvrée dans un roman, le Serment de l'espoir, L'Harmattan, 2021. Elle publie la même année Femme d'eau et d'étoiles, préface de Patrick Devaux, Editions Bleu d'encre, 148 pages, 14 €. Elle y mentionne, entre autres : « Nous cueillerons les ténèbres / nous en ferons des bouquets de lumière. » Elle consigne au cœur de l'opuscule Danse ardente, Les Chants de Jane, 2022 : « Elle sait qu'elle est née guerrière de l'espoir / que la joie coulera dans ses veines / jusqu'à son dernier soir. » Dans Boire la lumière à la source, préface de Francis Gonnet, Editions du Cygne, janvier 2023, elle se présente « l'espoir en bandoulière / et la sensualité du mistral / dans les cheveux », avec toujours la même volonté de vivre et de bonheur. La poétesse éclaire aussi "les souffrants", les "blessés de la vie". L'Amour devient "ultime loi, torrent de feu dans les artères". Tous les flambeaux portent autant d'ardeur pour combattre l'obscurité, la noirceur et la nuit. Tout frais paru, le dernier recueil, Flambeaux de vie, est constitué de 39 poèmes dont la majorité tourne autour de la dizaine de vers. Chacun de ces poèmes tutoie quelqu'un, qui n'est pas l'auteur, puisque "Brindilles" consigne : « Tu seras celui qui, comme le vent / vole au-dessus des herbes. » Consultée, Parme répond qu'elle tutoie en effet " tout être humain qui expérimente une traversée des ténèbres". Elle se projette donc, se démultiplie, ce qui est le propre du poète qui écrit pour les autres. Son vers est dense et limpide à la fois. Toujours l'espoir scintille comme entre les joncs au bord d'un lac. « Tu auras peur, mais ne trembleras pas /sauf dans les bras de l'Amour. » Elle marie le ciel et la terre, la pureté d'un instant et les étoiles, la chair à la confiance. C'est une femme, et non « un gibier de guerre », de l'univers qu'elle habite à l'égal de la poésie qu'elle suscite - « un fragment de constellation». Elle est tout près de réinventer, comme Rimbaud, « la recette égarée du bonheur». Elle convoque le courage et la passion, sans écarter la patience qui s'ensuit. Elle nous fait "aimer la vie comme une amante indomptable" et c'est bel et bien. Qu'elle en soit remerciée."

Pierre Perrin, 13 juillet 2023.

Recueil "Boire la lumière à la source" de Parme Ceriset (éditions du Cygne)

Recto verso recueil cygne parme

 

Parution en janvier 2023 du recueil "Boire la lumière à la source" de Parme Ceriset (éditions du Cygne, collection Le Chant du Cygne, préface de Francis Gonnet, janvier 2023).

Recueil disponible sur commande en librairie (Fnac, Decitre, Cultura...) et sur le site des éditions du Cygne : 

Editions du Cygne - Boire la lumière à la source

Editions du Cygne - Parme Ceriset

 

 

Photo recueil ciel bleu main

 

Annonces de la parution, extraits....

Boire la lumière à la source de Parme Ceriset - L'Ardent Pays (over-blog.com)

Parution du recueil « Boire la lumière à la source » de Parme Ceriset aux Éditions du Cygne  - (lettrescapitales.com)

Parme Ceriset :  » Boire la lumière à la source  » éditions du Cygne (collection Le Chant du Cygne). – Le Dix Vins Blog littéraire poétique et cultivant

Parme Ceriset – extraits de « Boire la lumière à la source » (éditions du Cygne, collection Le Chant du Cygne, préface Francis Gonnet, janvier 2023). – Le Dix Vins Blog littéraire poétique et cultivant

 

Photo recueil de parme ceriset vers rideau vert et boisPhoto recueil parme cygne objet livre

 

 

Recensions et interviews, lectures, vidéos : 

Parme Ceriset et l'insouciance de l'éternité (linternaute.com)

Parme Ceriset | lelitteraire.com

La louve alchimiste – Chemin potier (sitedesign.blog)

Parme Ceriset : Boire la lumière à la source (lecritoire-des-muses.fr)

Galien Sarde : Boire la lumière à la source, de Parme Ceriset - (lettrescapitales.com)

Boire la lumière à la source, Parme Ceriset (par Patrick Devaux) (lacauselitteraire.fr)

Boire la lumière à la source, Parme Ceriset (par Charles Duttine) (lacauselitteraire.fr)

Parme Ceriset, Boire la lumière à la source, poésie, préface de Francis Gonnet, éditions du Cygne | AREAW

critiquesLibres.com : Boire la lumière à la source Parme Ceriset

Boire la lumière à la source - Parme Ceriset - Babelio

Brèves de poésie - Parme Ceriset - Boire la lumière à la source - YouTube

 

Articles de presse :

Article dans le Dauphiné libéré concernant le recueil "Boire la lumière à la source" de Parme Ceriset (éditions du Cygne) : 

Mirabel-et-Blacons. Parme Ceriset et la Drôme, source d’inspiration (ledauphine.com)

 

Article cadre parme ceriset recueil cygne et prix desbordes valmore

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Parme Ceriset Danse ardente éditions Les Chants de Jane (06/2022, 28 pages, 5 euros) | AREAW

Parme Ceriset : Danse ardente (lecritoire-des-muses.fr)

DANSE ARDENTE de PARME CERISET (Les Chants de Jane, Grenier Jane Tony) / Une lecture d’Éric ALLARD – LES BELLES PHRASES (wordpress.com)

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Parme CERISET Femme d'eau et d'étoiles Prix Marceline Desbordes-Valmore 2021 - Bleu d'Encre Editions et Revue (over-blog.com)

Parme Ceriset : Femme d’eau et d’étoiles (lecritoire-des-muses.fr)

Parme Ceriset, Femme d’eau et d’étoiles, préface de Patrick Devaux, Bleu d’encre, 2021 | AREAW

  FEMME D’EAU ET D’ÉTOILES de PARME CERISET, préface de PATRICK DEVAUX (Bleu d’Encre) / Une lecture d’Éric ALLARD – LES BELLES PHRASES (wordpress.com)

Femme d’eau et d’étoiles – Parme Ceriset | Mes impressions de lecture (unblog.fr)

 

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Le Serment de l’espoir, Que la vie souffle encore demain, Parme Ceriset (par Patrick Devaux) (lacauselitteraire.fr)

Parme Ceriset : Le Serment de l’espoir (lecritoire-des-muses.fr)

Confiance en la vie, car elle est Amour ! (linternaute.com)

Parme Ceriset, Le Serment de l’espoir, Que la vie souffle encore demain, Roman, L’Harmattan, février 2021, 238 pages, 22,50€ – Traversées, revue littéraire (revue-traversees.com)

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N’oublie jamais la saveur de l’aube, Parme Ceriset (par Patrick Devaux) (lacauselitteraire.fr)

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Article dauphine 2 parme ceeriset bleu

 

Mes livres alignes recadres

 

Photo roman arbreRecueils femme d eau et d etoiles sur robe turquoise

Photo recueil prime avec bandeau rougeImage recueil femme d eau et d etoiles dans le luiquidambar

 

Dans la revue Poésie / première numéro 86, note de lecture de François Teyssandier au sujet de « Femme d’eau et d’étoiles », éditions bleu d’encre, préface Patrick Devaux, prix Marceline Desbordes-Valmore 2021.

Extraits :

« Ce recueil est une ode à la vie, une ode aussi à la féminité. (…) Osmose entre le terrestre et le céleste.

« Je me sens de la Terre et infiniment femme / femme des ruisseaux fous et femme des nuages / femme du crépuscule embrasé de ses flammes."(…)

Elle (Parme) ne s’oppose pas au monde des hommes. Elle est à leurs côtés, sans soumission ni révolte, dans le partage et l’Amour. « Ma féminité / c’est celle des orages qui éclatent sans prévenir / embrasant le toit du monde / de leur sombre rage d’aimer."(…)

Sa poésie se veut la plus sereine et lumineuse possible. Elle est d’une grande sobriété dans l’expression : aucun pathos, juste une sensibilité charnelle à fleur de peau, à fleur d’âme, qui donne aux êtres leur vraie place sur la Terre. Pas de rivalité entre eux. La poésie est un partage entre tous les vivants, (…)

une façon d’éclairer le monde, de le changer un peu, de lutter chaque jour contre les désastres, l’oubli et la mort…(…)

« Nous cueillerons les ténèbres, nous en ferons des bouquets de lumière. »

Suite à lire dans la revue Poésie / première.

Recueil danse ardente fluers oiseauxImage roman et recueil primeveres

Affiche roman dans paysage 1

Retours de lecture sur le roman de Parme Ceriset "LE SERMENT DE L'ESPOIR - Que la vie souffle encore demain", L'Harmattan, février 2021

PREMIERS RESSENTIS DU POETE FRANCOIS GOBLET, membre de la Société des Poètes Français :

"J'aime vraiment votre univers poétique et littéraire, c'est un nectar. Cela fait tellement de bien. Votre roman m'enthousiasme. J'adore votre style; l'enfance que vous contez, votre grandeur d'âme et de coeur. J'ai déjà lu quatre chapitres et c'est solaire, tant d'Amour et de moments précieux, une prose que je trouve "proustienne" et poétique à souhait, une telle beauté et richesse de vocabulaire... On se laisse imprégner et emporter. Et l'Amour de la vie surtout !"

RETOUR DE LECTURE DE FRANCOIS GOBLET (après lecture complète de l'ouvrage) :

« C’est de mon lointain pourtant si proche que j’ai lu le foisonnant roman si proustien de mon amie Parme Ceriset dont j’ai la chance et le privilège d’avoir toute l’œuvre. « Le Serment de l’espoir » se lit comme un fabuleux voyage d’amour et d’amitié à travers la maladie et la résurrection en un langage chatoyant et riche comme toutes les notes d’espérance qui parsèment ce beau livre publié chez L’Harmattan. La poésie de Parme s’y retrouve en un profond souffle de vie et d’amour de la vie. Ceux qui aident, les aimés, la « meute »bienveillante dans des paysages de région où je ne suis pour ma part jamais allé mais qui embaument la beauté, le combat pour la vie et l’amour, la si profonde sincérité : de l’amour, de l’amour, de l’amour, de la poésie et de la vie en toute circonstance. Voilà qui ne pouvait que me parler. J’ai pris du bonheur à prendre le temps de lire ce roman récit de vie à la première personne et je ne regrette pas, tant par sa sincérité et je pourrais en un clin d’oeil proustien y voir un « du côté de chez Parme » enchanteur et enchanté. Ma mère trouve aussi que c’est un magnifique livre et me recommande d’en prendre soin car c’est aussi un très beau livre matériellement parlant et chez nous les œuvres de Parme ont une place bien particulière dans mes bibliothèques et c’est aussi cela l’amitié. Un très beau roman de ma consœur de la SPF que je suis toujours avec bonheur et intérêt. C’est dit. »

RETOUR DE LECTURE DE DOMINIQUE BARROT (ami de l'auteure sur les réseaux sociaux) :

"J'ai terminé votre livre il y a quelques jours déjà et si je ne vous ai pas écrit tout de suite, c'est faute de temps mais je n'ai pas cessé d'y penser car c'est un livre marquant, un livre qui vous tient et ne vous lâche pas, un livre toujours émouvant et souvent bouleversant. Votre faculté d'émerveillement est telle que vous enchantez le monde. Grâce à votre expérience de médecin, vous faites partager les dures réalités de la vie et des traitements et ce qu'on pourrait appeler votre inquiétude métaphysique vous inspire une profonde méditation sur la mort. Merci pour ce beau livre."

RETOUR DE LECTURE DE JEAN-MARIE MARCEL DARNIS (historien, ethnologue, ami de l'auteure sur les réseaux sociaux)

« Merci Parme Ceriset de nous avoir offert cet ouvrage bouleversant « Le Serment de l’espoir » qui secoue nos égoïsmes. C’est un livre-épopée sur la fatalité, l’amour de vivre, la chaleur aimante d’un foyer, la beauté de la nature, mais aussi au fil du temps le long temps d’études de médecine, le premier amour, la passion, la foi, et l’espérance. Ce roman autobiographique d’une grande fluidité littéraire se lit comme un souffle. En particulier, la capacité d’une toute jeune femme à surmonter l’adversité pour triompher de toutes les formes de sa propre tragédie. Il n’en faut pas moins 38 chapitres divisés en trois parties totalisant 238 p. pour donner un éclairage sur la jeunesse d’une santé fragile, du contexte familial, des petits compagnons canins ou félins, sur celle des études, du mal insidieux, des traitements lourds et longs, des peines, mais aussi des joies. Le ton est parfois traité avec humour. Tout cela fait chaud au cœur. En tant que professionnelle de santé, vous expliquez le mécanisme de l’action d’un virus avec risque de rejet de greffe possible dans le développement, les possibilités diagnostiques et thérapeutiques. Le livre est avant tout un plaidoyer sur la vie qui n’est ici, ni une vérité logique, ni une vérité empirique. Il verse à court et long terme dans la préservation de la propre vie de l’auteur. Le lecteur y ressent une représentation de la souffrance physique et morale, voire de l’angoisse face à l’inconnu et à l’insondable. Des passages révèlent que cette disparition prévisible exerçait sur elle-même une insidieuse séduction. Serait-elle source de ses souhaits ? Toujours est-il que ce phénomène est l’accomplissement de tous ses vœux. Cette résurrection lui a conféré son juste prix, même si l’espoir déterminé est ténu dans cet avenir inaccessible, auquel sa propre disparition transfigure son existence. Manifestement sa vie est précieuse d’être si courte en exaltant sa vie auprès des siens, dans la nature et senteurs de sa Provence ou Vercors si bien contés et si chers à son cœur, dans ses poèmes et ses aquarelles lumineuses. Cet ouvrage est d’une sagesse ancestrale préchrétienne qui invite à réévaluer notre existence, nos actions en les regardant comme dans l’image inversée que renvoie un miroir, celle d’une vie dans sa fragilité éphémère. Lorsque l’on referme ce livre, le lecteur n’est plus tout à fait le même...- Une chose est certaine : « la vie soufflera encore demain »

 

RETOUR DE LECTURE D'ALAIN YVARS (publié sur babelioet sur les réseaux sociaux) :

Montage dessin d alain yvars

« Et voici quelques regards que j’ai cueillis sur ma route. Ils scintillent d’un éclat particulier : celui des braises de l’espoir. »

Lorsque j’avais rédigé la critique recueil de poèmes « N’oublie jamais la saveur de l’aube » de Parme Ceriset, j’avais été impressionné par le charme de cette poésie. Ces mots en forme d’étoiles m’avaient rappelé par leur force mon ami Vincent Van Gogh et sa « Nuit étoilée ».

Pour bien comprendre ce roman autobiographique, il faut savoir que Parme Ceriset, atteinte d’une maladie rare très jeune, vécut sous oxygène de longues années, avant d’être greffée des poumons.

Trois grandes parties bien distinctes découpent le roman : une enfance heureuse dans l’attente d’une greffe ; un interminable parcours opératoire ; un nouveau souffle de vie.

Quatre ans et demi. Une famille aimante. Et puis le drame, la maladie. « Elle n’atteindra jamais l’âge de dix ans », telle était la sentence des médecins. S’ensuivent des années de soins : perfusions, antibiotiques, piqûres, kiné…

Vivre… « Maman va-t-on mourir un jour ? — Oui, comme tout le monde, mais c’est dans tellement longtemps que c’est comme si c’était jamais. ». Rose (son prénom dans le livre) atteint ses seize ans. Sa vie est celle des autres adolescents : danse, amourettes, études. Un premier amour, Adrien : « beaux yeux vert sombre en amande, rieurs et mystérieux, inondés de myriades de galaxies aux reflets insondables, d’étoiles inaccessibles ». Elle entame des études de médecine. Les jeunes gens sont heureux : famille, travail, courses-poursuites cheveux au vent dans les plateaux du Vercors, discussions interminables et rires partagés.

Ayant vu des morts dans ses études de médecine, Rose a la ferme intention de faire jaillir la vie. « La vie retrouvera un sens, partout où je serai, elle vaincra, elle rayonnera ! ».

Les poumons se dégradent. « N’oublie jamais l’oxygène des rêves. N’oublie jamais la saveur de l’aube », lui dit Adrien. À 25 ans, quatre longues années sous oxygène passent avant d’accueillir une greffe des poumons : « Je ne pouvais prendre le risque de mourir avant qu’un greffon soit disponible, sans avoir cueilli mon unique chance ». Elle aime écrire : « Créer, créer encore, créer toujours, pour rejoindre dans l’art une certaine forme d’immortalité ».

« Rose, avez-vous la possibilité de vous rendre rapidement à l’hôpital ! ». L’appel téléphonique tant attendu arrive. Rose quitte tout ce qui était sa vie. L’opération est longue, difficile, le réveil comateux, une sensation de n’être nulle part, personne… Réanimation. Adrien, maman, sont là… Les jours passent. Rose songe à son donneur. « Et de temps à autre, mes pensées dérivaient vers celui que je n’avais pas connu et grâce auquel je vivais tous ces moments merveilleux » … « Je pris la décision de ne jamais oublier mon donneur, mais de considérer que ces nouveaux poumons, je les avais adoptés, qu’ils étaient bien les miens, et je me jurai de ne jamais remettre en cause cette affirmation. »

Les années passent. Rose est épanouie à trente ans. Son rêve ancien devient réalité : « J’aimais par-dessus tout cette impression de voler, de humer l’air, de fendre l’atmosphère, moi qui avais autrefois manqué d’oxygène pendant des années. »

Une nouvelle vie. Un chemin imprévu. Un conflit entre elle et Adrien couvait que la maladie avait estompé. Des disputes, des blessures profondes surgissaient. La « petite flamme de l’espoir » s’éteignait entre eux, sorte de lent éveil printanier vers une autre existence, après l’engourdissement d’un hiver de souffrance. Rose retrouve un de ses anciens poèmes, prémonition évoquant deux amants perdus dans l’océan : « Ils dansent une valse mélancolique à l’intérieur d’une bouteille à la mer, d’une bouteille à l’amour, et ils dérivent ensemble, portés par les vagues, vers leur destin, vers leur disparition prochaine, vers le présent, vers l’avenir, vers le passé qui, d’une certaine façon, n’a jamais vraiment cessé ».

La jeune femme rencontre Raphaël : « Je trouvais à cette voix grave, chantante et audacieuse, un charme puissamment viril dont je sentais la vibration érotique me parcourir de frissons inattendus ». Il devenait son nouvel Éden. « Le bonheur était dans sa nature. À ses côtés, le quotidien était simple et doux ; ce qui apaisait mon tempérament tourmenté. »

Une nostalgie sourd des derniers chapitres du roman : une paix, une quiétude dont Rose se repait accompagnée de son amour pour Raphaël. Les épreuves passées sont oubliées. Adrien, qui a refait sa vie, devient un vieil ami. Ils ont gardé une complicité particulière en repensant à toutes ces années, cette aventure étrange qui avait été la leur. « Nous avions lutté contre la mort, nous l’avions affrontée ensemble à plusieurs reprises, souvent avec un courage exemplaire, puis au fur et à mesure que les menaces liées à la maladie s’étaient évaporées, nous avions perdu nos paillettes de héros. »

À la fin du livre, j’ai retrouvé la belle poétesse qu’est Parme Ceriset, avec ses étoiles scintillantes et sa palette de peintre : « Bercés par le chant des grillons, il nous arrivait d’observer sur les carreaux de la terrasse l’une des fameuses limaces beiges à points noirs de notre adolescence, et parfois même, dans l’herbe humectée par la rosée du soir, l’étoile magique d’un ver luisant. Je m’endormais dans les bras de Raphaël, afin qu’il m’inonde de sa douceur et de son extraordinaire sérénité. »

Le roman de Parme Ceriset est un livre de vie, de courage et d’amour. Une immense énergie positive s’en dégage, celle de l’espoir. "

RESSENTI APRES LECTURE DE FRANCETTE LEGUEN, poétesse et amie de l'auteure sur les réseaux sociaux :

"Je t'ai suivie dans ton combat si difficile que tu as gagné grâce à ton courage, à ta rage de vivre . Quel parcours !. Un livre que je recommande fortement car tu donnes de l'espoir, tu inondes le lecteur de lumière malgré les souffrances. Un immense merci pour ton roman autobiographique."

RETOUR DE LECTURE D'UNE LECTRICE (posté également par elle sur babelio) :

EL 14 : "Magnifique roman autobiographique sur une bataille brillamment gagnée par l'héroïne contre la mort.
Son optimiste, l'amour de ses proches et ce donneur si précieux lui offrent une renaissance.
L'auteure nous emmène dans un quotidien hospitalier difficile mais également dans des paysages fabuleux.
C'est une livre coloré qui fait aimer la vie."

RETOUR DE LECTURE D'UNE AUTRE LECTRICE (posté sur babelio également)

E.W. : "Un roman éblouissant de beauté, de vie, d'espoir. Un message fort : la vie triomphe toujours malgré les épreuves, un message de renaissance avec la greffe des poumons de l'héroïne. Il y a aussi deux histoires d'amour exceptionnelles qui dépassent les menaces de la mort et du temps. Une ambiance envoûtante dans ce livre, l'impression de liberté offerte par la nature de la Drôme et des hauts plateaux du Vercors qui contraste avec les passages évoquent la maladie ou l'hôpital. Et en plus, quel style ! Une écriture superbe, poétique et vivante."

RETOUR DE LECTURE D'UN LECTEUR (Jean-Pierre D.; retour directement communiqué à l'auteure.)

"Je viens de terminer ton roman. C'est un travail magnifique, intense et vivifiant. Je pense aussi, comme le montre ton oeuvre, que l'intensité du présent se fonde sur le savoir "surconscient", qu'il est en train de créer une mémoire qui ne disparaîtra pas et se dépose sur le millefeuille infini qu'est notre vie."

RETOUR DE LECTURE DE CATHERINE DUFLANC-FAGGIANI (amie de l'auteure sur les réseaux sociaux ; retour directement  communiqué à l'auteure) :

""Un chemin de vie douloureux mais plein d'amour, de joies, de courage, d'optimisme, bouleversant
. Une Amazone éblouissante. Un incroyable chemin de vie, douleur et fantastique courage, beaucoup d'Amour et un style magnifique, un régal... Très émouvant."

RETOUR DE LECTURE DE ELSA M. (directement communiqué à l'auteure) :

"Je viens de lire ton roman et il est magnifique ! Ta vision du monde colorée et fleurie, ton courage, tes batailles, tes victoires, tes amours. J'ai adoré, j'ai souri, ri, pleuré. C'était magique de retrouver certains lieux qui me sont familiers à travers tes mots. L'optimisme et l'amour de la vie permettent ce triomphe. Tu es une héroïne dont la force intérieure déjoue tous les pronostics, quelle belle leçon de vie tu nous donnes ! J'ai vraiment adoré et j'avais beaucoup de mal à quitter tes lignes lorsque j'étais obligée de faire autre chose, et paradoxalement, je me suis laissée 40 pages pour le lendemain car je n'avais pas envie que le livre se termine."

RETOUR DE LECTURE de Sans Claude, publié sur le dix vins blog (extrait) : 

"« Parme comme Rose sont des guerrières, des amoureuses de la vie qui ne renoncent jamais malgré le fil tendu, le bord du précipice qui peut à tout instant les faire basculer. Un magnifique plaidoyer pour la vie envers et contre tout sans pathos ni sensiblerie excessive ! Ici on vit, on respire, on avance, on espère ! »

RETOUR DE LECTURE DE LA POETESSE CARMEN PENNARUN :

"Rose est née dans une famille joyeuse et la maladie rare dont l’enfant est atteinte n’a pas entamé cette joie, bien au contraire. Les gestes, les attentions, l’organisation de la vie familiale qui ont été nécessaires pour ralentir l’évolution de la maladie et faire reculer l’échéance d’une greffe n’ont fait que resserrer les liens entre les membres de la famille et les amis qui les approchaient. Rose a prêté serment à l’espoir, une première fois dans l’enfance, quand sa mère a trouvé les mots capables de lui donner le courage de vivre avec cette maladie, puis deux autres fois, par amour. Rose a donc appris, très jeune, à apprécier ce que la vie avait à lui offrir. Elle peignait ses jours de sensations douces, elle était collectrice de petits bonheurs qu’elle fixait chaque jour sur la toile impressionniste de ses jours. Sa vie s’annonçait courte, elle la rendrait intense, savoureuse. Elle ne compterait pas les heures quotidiennes dédiées aux soins, ni les années à vivre reliée à une bonbonne d’oxygène, elle suivrait des études et deviendrait médecin. Elle dut interrompre sa vie professionnelle et malgré sa déception elle considéra que cela l’avait rapprochée de l’essentiel et lui avait permis d’accroître sa confiance en elle. « D’autre part, dit-elle, cette retraite anticipée m’avait offert quatre ans d’un délicieux sursis, quatre ans de bonheur épicurien passés à vivre au jour le jour. » On imagine la longue attente du greffon, six mois où le souffle s’amenuise, où les forces diminuent. Une fin de vie, avec l’espoir de parvenir à accéder au bonheur grâce à un souffle neuf, un jour. Puis arrive l’appel tant attendu et l’intervention a lieu. Le rétablissement sera long et douloureux, mais même durant cette période toutes les personnes qui gravitent autour de Rose lui insufflent le goût de la vie. Tous ces personnages sont attachants, depuis le médecin, Martial Sérac, jusqu’à la petite chienne Ajax qui joue un rôle essentiel dans cette constellation dont Rose est le centre ; un soleil qui ne doit pas s’éteindre. Après la greffe, la deuxième vie de Rose peut commencer mais pas dans la continuité. Les êtres les plus proches, les piliers de son ancienne vie se fragilisent, car les rapports entre les êtres changent, inévitablement. Sa petite chienne meurt, le lien avec son conjoint est perturbé, Rose est sur le point de s’écrouler, les vibrations de Joie, qui l’entouraient jusqu’ici, elle ne les perçoit plus, la beauté des paysages non plus… jusqu’au jour où elle va rencontrer son nouvel amour, différent du poète qu’elle avait imaginé mais si proche de l’amour parfait qu’elle pensait ne plus pouvoir connaître. C’est en femme plus mûre qu’elle retrouve, avec l’amour et sa vie reconstruite, la sérénité d’esprit. Elle peut enfin explorer toutes les sensations qu’apporte son corps restauré ; courir, danser, partir pour de longues randonnées, et atteindre ce bonheur auquel elle a toujours cru, en continuant de rassembler autour d’elle tous ceux qu’elle aime dans ce petit paradis drômois où la vie est si douce. La joie parfois est une conquête de haut vol. Mon avis : un livre animé d’un souffle puissant qui rend à l’Amour justice et que la beauté traverse de la première à la dernière page."

.Carmen Pennarun

RETOUR DE LECTURE DE PAUL CROZET-FOURNEYRON (poète, passionné par l’étude de l’inconscient humain.)

 "Ce retour de lecture sera cindé en deux parties car la seconde partie fait un peu écho à la fin de l’ouvrage, donc ceux qui n’ont pas encore lu l’ouvrage et qui ne veulent pas avoir d’indice sur la fin peuvent lire uniquement la première partie.  

Partie 1 :« Ce magnifique ouvrage n’est pas une pure oeuvre autobiographique, malgré les apparences. Nonobstant le fait que l'opération subie par Rose est extrêmement lourde, cette dernière n'était qu'un prétexte, pour Parme, pour écrire ce livre et pour clôturer définitivement cette page sombre de son histoire. La dramaturgie est très intéressante, si j'étais un metteur en scène j'en ferais un film, le suspense ne manque pas. L'arrivée de Raphaël en fin de livre nous fait retrouver le coté autobiographique du livre.Parme a travaillé l'écriture comme une véritable sculptrice, chaque mot est à sa place, finement ciselé, son texte coule comme une rivière limpide, on n'a pas à chercher : ah, qu'est ce que Parme a voulu dire, les mots se suivent d'une manière claire, et chacun donne un sens au suivant, et ainsi de suite jusqu'à la fin. Rose n'est pas née seule, elle est venue au monde avec une "amie" peu recommandable, elle pouvait se révolter, baisser les bras mais Rose s'est vite rendu compte que la meilleure solution c'était de s'en faire son alliée, c'était le meilleur moyen de pouvoir l'anéantir. Donc un "dialogue" bien particulier s'est engagé, le premier geste c'était de se l'approprier, de ne plus la considérer comme autre, cette maladie n'est plus un objet; Parme nous conte l'histoire de ce dialogue, et celui-ci ne se déroule pas à l'extérieur, mais à l'intérieur, car c'est là où se situe la force de Rose, la volonté, cette force destructrice quant on s'en sert habilement, et Rose le fait très bien. Elle met au défi, plusieurs fois cette ennemie mortelle, la mort, car Rose n'entame pas n'importe quel combat, ce dernier est dangereux, avec des conséquences très graves, mais il est passionnant, et Rose aime naviguer dans la passion : LA VIE et LA MORT. On oublie souvent que l'ÊTRE HUMAIN, à peine pousse-t-il son cri qu'il est déjà confronté à deux forces : FORCE de VIE, FORCE de MORT. Rose se moque de cette ennemie, se joue d'elle : pas par des mots, mais par des actes, des actions. Ceux-ci sont des lieux d'échange, mais contrôlés par la seule et unique volonté de Rose. L'autre point point important, qui ressort du livre est le suivant : quand on est gravement malade, la nature, mais également les choses, et bien entendu les animaux, donnent la véritable dimension de notre état. Les choses, la nature, les animaux, c'est certain, "parlent" : que chacun essaie de contempler une fleur, un portail qui s'ouvre, qui se ferme, une allée, un fruit, quand il est très malade, un semblant de dialogue verra le jour, on peut aller plus loin, la personne se dira, je pars, j'ignore quand je reviendrai, et vous êtes ici, bien vivants; Ce contact avec les choses qui nous entourent est très important pour le moral du malade. Et à plus forte raison avec les animaux, la chienne de Rose a joué un rôle très important dans le rétablissement de Rose. Dans l'oeuvre de Parme, rien ne manque, tout est détaillé, tout ce qui est capital dans le cadre de la maladie de Rose est mentionné, et pourtant on ne détecte aucune lourdeur dans le texte. Il y a un personnage central autour de Rose : Adrien. Parme nous relate le dialogue entre Adrien et Rose. Il n'y a pas de mots, non, tout se passe dans l'inconscient, c'est un dialogue entre inconscients, il y a très peu de mot, quand il y en a, c'est très concis; l'inconscient est parole, mais sans cris; ce dialogue est passionnant, car en plus il nous renseigne sur les personnanges, et principalement Adrien, ce qui permet de percevoir le chemin emprunté, et malgré l'état de Rose, on perçoit la lumière, ce qui n'était pas gagné d'avance. Voilà où se situe la grandeur et la simplicité du texte, on ne joue pas avec lecteur sur les émotions. Ce qui est une preuve que Parme maitrisait parfaitement le sujet. 

Partie 2 :

On pouvait envisager qu'Adrien risquait de perdre Rose. Il s'impliquait d'une manière dans ce parcours de Rose mais Rose avait une configuration, Adrien s'y est adapté; la guérison a modifié la configuration de cette même Rose, physiquement puisqu'elle a de nouveaux poumons, mais également psychiquement... Adrien n’a pas pu s’adapter à cette nouvelle configuration, compte-tenu de son implication. Parme nous fait part de changements relationnels. Rose est un nouveau personnage, et elle avait besoin de ce livre pour l'exprimer. Bien entendu il y a d'autres personnanges : la famille, Edmond, Cheyenne, les grands-mères, les parents, et Ajax, le petit chien. Bien entendu il ne faut pas oublier les soignants, dont Parme nous dresse un magnifique tableau, et il faut avoir une pensée pour le donneur. Ce récit ne se termine pas ainsi, car il y a Raphaël, qui bien évidemment doit jouer un rôle très important. Il ne faut oublier que Rose est au centre d'un cercle : d'un côté il y a le passé, avec Adrien, de l'autre le présent et le futur avec Raphaël, c'est la rencontre qui fera qu'ils se rejoindront au centre, et qu'ils retrouveront Rose. En conclusion les rôles d'Adrien et Raphaël sont très importants. Voilà mon compte rendu, mon ressenti, pour ce merveilleux livre dont la place dans une bibliothèque se situe dans la catégorie psychologie.  Pour finir, la grandeur des valeurs ne peut se construire que grâce à la volonté qui a élu domicile à l'intérieur de nous même; cette dernière c'est l'âme de l'ETRE HUMAIN; âme non pas au sens religieux. Parme Ceriset l'a très bien compris, et c'est pour cette raison que ce livre nous donne une magistrale claque dûe à la puissance de sa volonté.

Paul Crozet-Fourneyron

Et Paul Crozet-Fourneyron a également ajouté que si l'entourage de Parme, ou de Rose dans le roman, est toujours resté optimiste quant à sa survie, c'est parce qu'il savait qu'elle ne renoncerait jamais...

RESSENTI APRES LECTURE DE LA POETESSE ANNIE DEVEAUX BERTHELOT :

"Je viens de terminer le roman de Parme Ceriset "Le Serment de l'espoir". Très belle écriture. Un livre à lire absolument !"

RESSENTI APRES LECTURE DE GISELE R.:

"J'ai dévoré ton roman. QUELLE ECRITURE !!! De la poésie en prose. EXCELLENT ! Merci de m'avoir fait partager tes petits et grands bonheurs, tes angoisses et surtout ton combat pour la vie à tout prix. C'est un message émouvant d'Amour, de Courage et d'Espoir. Bravo pour ce roman remarquable.

RESSENTI APRES LECTURE DE PATRICIA C. (avis directement communiqué à l'auteure).

Félicitations pour cette ode très émouvante à la nature et à la vie. 

RETOUR DE LECTURE D'UNE LECTRICE (publié sur babelio)

"Ce roman est un chant tout autant qu'un tableau, un hymne à la vie où la joie s'obstine malgré les obstacles - de taille - qui dès l'enfance sont venus contrarier le cours "normal" de l'existence.
Chaque personnage, chaque élément de la nature, tenait sa place dans ce tableau que Rose avait composé avant son opération et tous l'aidaient à vivre. Elle en savourait chaque couleur comme une miette gourmande.
Ce tableau, il a fallu le repeindre après l'opération, accepter de vivre une rééducation à la Joie, au Bonheur, avec un souffle neuf et un nouvel amour.
Un livre qui se dévore, même lorsque Rose évoque son hospitalisation, l'auteur a su, même en ce lieu, nous faire partager cette période de vie. Nous nous accrochons avec elle à l'existence. Un retournement inattendu, en deuxième partie, nous permet de comprendre le sentiment d'être vivant à partir d' un angle inhabituel. Une lecture salutaire que la beauté accompagne d'un bout à l'autre du roman."

RETOUR DE LECTURE D'UNE LECTRICE, Annie, publié sur babelio :

"Un livre porteur d'espoir au souffle poétique esthétique dans lequel la narratrice/autrice donne à voir la beauté de la vie malgré un vécu douloureux.
La narratrice en osmose avec la nature, le réel environnant, pénètre leurs arcanes, voit ce que le sens commun ne sait pas percevoir. Elle, qui a frôlé la mort et parce qu'elle l'a côtoyée, ressent avec acuité le bonheur de vivre et l'exprime par le biais des mots et de la peinture. La nature, l'art, adoucissent l'âpreté du quotidien étouffant et étouffé assujetti à la souffrance, à la pesanteur des soins, et le transfigurent. L'art est salvateur (« écrire me sauvait la vie »), il permet l'accès à l'immortalité : « (…) créer, créer encore, créer toujours, pour rejoindre dans l'art une certaine forme d'immortalité ». Les mots imprimés sur les pages blanches d'un livre, les couleurs jetées sur la toile d'un tableau éternisent des instants fugaces, « immortelles pépites d'éphémères », les figent. La vie, la nature deviennent oeuvre d'art sous sa plume. Ses personnages, le réel sont transfigurés par l'imagination et l'écriture. Entrant dans un monde enchanté, elle les métamorphose en oeuvre d'art.
Ce roman autobiographique, bouffée d'air frais revigorant, souffle et pulsation de vie, est une invitation à savourer chaque moment de l'existence, à être dans l'Amour, dans la bienveillance. Ne voir que la beauté des choses, les dire et les peindre."

RETOUR DE LECTURE SUR BABELIO DE MIREILLE DELAUNAY :

Le Kintsungi est cet art japonais raffiné qui consiste à réparer une céramique précieuse en infiltrant de l'or dans ses fissures. Et la beauté du nouvel objet est supérieure à celle du précédent. L'héroïne du roman, que l'auteure a choisi d'appeler Rose, dépeint avec minutie, jour après jour, la perte progressive et douloureuse de son souffle vital puis la résurrection inespérée grâce à une greffe de poumons. le professionnalisme et la gentillesse d'une équipe médicale extraordinaire ont su « réparer le vivant » comme l'a si bien décrit Maylis de Kerangal dans son livre. Si ce récit nous émeut autant, c'est parce que chaque blessure, chaque meurtrissure, chaque fêlure a été colmatée par cet or humain qu'est l'amour protecteur d'un entourage familial exemplaire et de ce chevalier servant capable entre autres de la porter sur son dos avec ses bouteilles d'oxygène pour aller sous le figuier pendant quatre ans (geste ô combien touchant et symbolique). S'y ajoute l'amour sensuel d'une vie unique que Rose a peur de perdre au moment même où elle la goûte avec délectation. Et cette Rose qui ne devait vivre que « du matin jusqu'au soir » en est ressortie régénérée, métamorphosée avec la maturité nécessaire pour affronter d'autres bouleversements dans le cours de son existence. Belle leçon de vie pour un lecteur découvrant que Parme, la fragile chrysalide, a réussi à devenir un papillon plus coloré, plus fort, plus rare, pouvant s'envoler librement vers un autre destin.

RETOUR DE LECTURE D'UN LECTEUR (DAYDRIMER) SUR BABELIO :

 "Le Serment de l'espor", c'est la force dont chacun dispose en soi pour surmonter les obstacles de la vie, c'est demander que le vent dans la tempête nous souffle la confiance, l'amour et l'envie. Avec sa plume merveilleuse, Parme Ceriset nous transmet l'espoir quand tout semble plongé dans le noir. Comme une veilleuse dans la nuit, elle nous rappelle que l'univers peint en mille couleurs nos destins tourmentés à condition d'ouvrir notre coeur aux fruits mûrs de l'existence. Puisse ce roman vous redonner l'ivresse de la vie. A lire sans modération :)

Magnifique recension du roman de Parme Ceriset "Le Serment de l'espoir" dans La Cause littéraire

Lien vers la recension :

https://www.lacauselitteraire.fr/le-serment-de-l-espoir-que-la-vie-souffle-encore-demain-parme-ceriset-par-patrick-devaux

Un article très élogieux dans le salon littéraire L'Internaute par Bertrand du Chambon (écrivain qui a publié de nombreux ouvrages notamment aux éditions Albin Michel, Seuil...) qui compare le style de Parme Ceriset, sur certains points, à celui de Colette ou encore de Julien Gracq. 

Confiance en la vie, car elle est Amour ! (linternaute.com)

La presse en parle (articles, audio, vidéo...) et retours de lecteurs sur les ouvrages de Parme Ceriset (e-monsite.com)

Merveilleuse recension du roman "Le Serment de l'espoir" dans l'écritoire des Muses

Suite des retours de lecture sur le roman "Le Serment de l'espoir" (L'Harmattan) de Parme Ceriset

RETOUR DE LECTURE SUR BABELIO DE MIREILLE DELAUNAY :

Le Kintsungi est cet art japonais raffiné qui consiste à réparer une céramique précieuse en infiltrant de l'or dans ses fissures. Et la beauté du nouvel objet est supérieure à celle du précédent. L'héroïne du roman, que l'auteure a choisi d'appeler Rose, dépeint avec minutie, jour après jour, la perte progressive et douloureuse de son souffle vital puis la résurrection inespérée grâce à une greffe de poumons. le professionnalisme et la gentillesse d'une équipe médicale extraordinaire ont su « réparer le vivant » comme l'a si bien décrit Maylis de Kerangal dans son livre. Si ce récit nous émeut autant, c'est parce que chaque blessure, chaque meurtrissure, chaque fêlure a été colmatée par cet or humain qu'est l'amour protecteur d'un entourage familial exemplaire et de ce chevalier servant capable entre autres de la porter sur son dos avec ses bouteilles d'oxygène pour aller sous le figuier pendant quatre ans (geste ô combien touchant et symbolique). S'y ajoute l'amour sensuel d'une vie unique que Rose a peur de perdre au moment même où elle la goûte avec délectation. Et cette Rose qui ne devait vivre que « du matin jusqu'au soir » en est ressortie régénérée, métamorphosée avec la maturité nécessaire pour affronter d'autres bouleversements dans le cours de son existence. Belle leçon de vie pour un lecteur découvrant que Parme, la fragile chrysalide, a réussi à devenir un papillon plus coloré, plus fort, plus rare, pouvant s'envoler librement vers un autre destin.

RETOUR DE LECTURE D'UN LECTEUR (DAYDRIMER) SUR BABELIO :

 "Le Serment de l'espor", c'est la force dont chacun dispose en soi pour surmonter les obstacles de la vie, c'est demander que le vent dans la tempête nous souffle la confiance, l'amour et l'envie. Avec sa plume merveilleuse, Parme Ceriset nous transmet l'espoir quand tout semble plongé dans le noir. Comme une veilleuse dans la nuit, elle nous rappelle que l'univers peint en mille couleurs nos destins tourmentés à condition d'ouvrir notre coeur aux fruits mûrs de l'existence. Puisse ce roman vous redonner l'ivresse de la vie. A lire sans modération :)

 

Couverture roman a plat
Image parme ceriset video roman capture d ecran

Retours de lecture sur le recueil "LE SOUFFLE DE L'AME SAUVAGE - Libre comme louve, Ed. du Lys bleu

Image recueil dans paysage enneige

RETOUR DE LECTURE DE FRANCOIS GOBLET, membre de la Société des Poètes Français

"Une poétesse qui irradie et une très chère amie de mon coeur, Parme Ceriset, je viens avec une très grande joie de recevoir et de lire son très beau recueil "LE SOUFFLE DE L'AME SAUVAGE - Libre comme louve" qui me renforce encore plus que tout, comme cette consoeur de la SPF, dans l'amour fou et total de la poésie comme exigence de vie et bonheur de vivre et d'aimer en dépit de tout, par delà tous les enfers et souffrances de nos parcours et j'avais ressenti cette même joie intense à la lecture de son précédent recueil "N'oublie jamais la saveur de l'aube" car c'est une poésie plus que formidable qui irradie pour celui ou celle qui sait le goût de la douleur et la saveur des choses, une poésie du tréfonds et de la beauté, un vrai bonheur urgent et épanouissant de lecture et je ne demande que ça en poésie et c'est édité au Lys bleu : vraiment un vrai bonheur. »

RETOUR DE LECTURE DU POETE JULIEN MIAVRIL (article également publié sur la plateforme littéraire Plimay) 

"Le souffle de l'âme sauvage, libre comme louve, est, comme son titre l'indique, une célébration de la vie sauvage envisagée comme le lieu de sauvegarde et d'expression de la liberté authentique. A cet Éden sauvage, sanctuaire menacé, qui brille de son idéal poétique, Parme Ceriset élève des prières qui ne sont rien de moins que « le chant du temps » ; chant qui nous parvient depuis « l'aube immémoriale du monde », brûlant « d'un incomparable éclat d'éternité », et dont tout poète sent « les premiers éclats palpiter dans son sang ». Alors que la nuit murmure au regard « l'infini bleuté des monts », que les anges y meurent comme des « étoiles à peine évaporées » dont le sang vient en noircir le parchemin, hurle cette meute de louves où la poétesse puise sa sève, son « espoir et son souffle ». Tout au fond de la nuit résonnent « les voix de la nuit sauvage », promesse d'un immortel amour qui s'éploie au cœur de l'été, « sauvage et violent », animal et fougueux. Mais de quoi au fond l'homme s'est-il rendu coupable ? Il s'est rendu coupable d'étouffer et de tuer en lui « sa part sauvage », qui le rattache pourtant au tissu de la vie, chaque fois « qu'il joue à massacrer ses frères en animalité ». Il s'est également rendu coupable de ne plus sentir que le sang qui coule dans ses veines et qui « enchante ses artères » est un sang universel. Le salut vient peut-être alors de cette « féminité sauvage », comparable à « l'orage qui éclate sans prévenir » dans son tressaillement d'éclairs, mais aussi à la douceur de ces « fleurs qui s'ouvrent pour accueillir l'amant », afin de lui offrir des « fruits gorgés de vie et passion. » Cette féminité sauvage, dans le poème « rugir de soleil », s'exprime sous la forme du rugissement et culmine dans une ivresse pleine de joie et de feu. Le Vercors est le théâtre sauvage et naturel où s'exprime cette soif de liberté et de fauves élans. « L'ultime envol », dernier poème d'un recueil qui est autant une odyssée qu'une ode à la vie sauvage, représente ce moment où la poétesse quittera son séjour terrestre pour rejoindre les étoiles et ainsi « dévorer la voie lactée », sûre de ne pas avoir abdiqué sa liberté après avoir dansé avec les loups et s'être unie à leur meute sauvage."

RETOUR DE LECTURE DE KEVIN BRODA, poète et ami de l'auteure sur les réseaux sociaux :

"Parme Ceriset réussit ce coup de force de rebondir sur les ténèbres pour mieux s’envoler vers la lumière. Elle se livre au lecteur avec une grande sincérité. Ses poèmes sont à la fois obscurs, à la fois clairs, comme l’est son vécu et le vécu de chacun d’entre nous. Le tout dans un style accessible au grand public. La lecture de ses poèmes donne espoir en la vie qui semble l’emporter sur la mort. Mais au fait, y a-t-il une mort chez l’autrice ? Ou une puissance de vie éternelle ?

Les épreuves s’avèrent salvatrices chez Parme. Là où certains pourraient tomber, elle décolle. Dans ses recueils, elle évoque l’absence d’êtres chers aujourd’hui disparus mais qui vivent encore en elle. En avançant dans son œuvre, on voit se dérouler son parcours spirituel. Car il s’agit bien là d’un chemin initiatique qui mène à la liberté. Tantôt en vers rimés, tantôt en prose poétique, tantôt en vers libres, chacun peut y trouver son bonheur.

Magnifiquement bien écrit, profond, limpide et beau. Elle dévoile, sans aucune superficialité son parcours extraordinaire qui l’a rapprochée de la vie qu’elle célèbre tout au long de ses textes."

RETOUR DE LECTURE DE JEAN-MARIE MARCEL DARNIS, historien et ethnologue, retour communiqué à l'auteure :

À l'instant j'achève la lecture de votre dernier recueil de poésie. Les quatre-vingt quatorze poésies qui composent "LE SOUFFLE DE L'AME SAUVAGE - Libre comme louve" sont unanimement tendues par une dialectique quasi héroïque. En cela me semble-t-il vous êtes l'ennemi d'un Parnasse donné, d'un Parnasse non recherché, ni voulu, pour parvenir à cette sorte de notion platonicienne d'un Parnasse authentique et fort. Pour votre propre ressenti, ce sera celui des idées, comme la nature est le lieu des corps. Vos poèmes appartiennent à l'être féminin des idées, me permettant cavalièrement de vous nommer Chevalière des idées. Vos mots, analysés, pesés, sont emprunts de l'outil intérieur et de la tension intense qui les créent. Votre vocation est avec raison de créer ces mots en poétesse, de porter les mythes comme le fablier La Fontaine transposait ses fables. Parme, vous êtes la fusée lyrique, la poétesse de messages, où l'on demeure seul et où l'autre demeure muet. Ce qui est agréable chez vous, c'est votre sens intuitif et profond du vers pour le métamorphoser en un corps aux formes harmonieuses.
Pour conclure, car il faut bien conclure, j'avancerai sans grand risque d'erreur, que vos textes sont à l'identique d'un grand voilier naviguant entre trois immensités : celle de la terre, celle de la mer et celle du ciel, pour découvrir comme Christophe Colomb votre monde et éveiller votre univers, dût-il lutter en pleine tempête et parfois solitaire. Ce monde que vous cherchez vous fuit-il ?
Mon propos, vous l'aurez compris n'est pas celui d'un poète, loin de là, mais davantage celui d'un historien-ethnologue qui aime défricher les âmes. »

RETOUR DE LECTURE de Françoise Plassiard, poétesse et amie de l'auteure sur les réseaux sociaux : 

"Dans ce nouveau recueil, le Souffle de l'âme sauvage, se mêlent liberté, espoir, beauté de la nature et amour de la vie en un arc-en-ciel de mots où s'embrassent anges et mésanges dans le miroir des âges. À chaque poème, Parme réinvente la vie avec des rires de lumière dorée, des frissons d'écume d'argent, le remue-menage sauvage des saisons en suivant le galop de son coeur. En virtuose des mots, Parme souffle sur les pages un vent de plaisir, ses vers arquent les couleurs comme l'aube laisse une saveur inoubliable. Son style est un enchantement."

RETOUR DE LECTURE de PAUL CROZET-FOURNEYRON, poète et ami de l'auteure sur les réseaux sociaux :

« Ce très beau recueil présente deux types de poèmes : poèmes didactiques et poèmes lyriques. Dans les premiers l'on perçoit de très belles leçons de sagesse pour mieux saisir la vie, et ces dernières résultent d'une analyse pleine de justesse, de pertinence du monde dans lequel L'HOMME évolue et auquel il se heurte. Ce n'est point de la morale, chacun fait sienne de ces leçons.
La deuxième catégorie est plus intimiste, mais point d'envolées naïves, non, des mots simples, ce qui peut leur conférer leur force car ils ne se diluent pas dans l'inutile.
Le lieu de création étant dans les mots, on relève dans chacun des poèmes une grande musicalité, un rythme soutenu qui serait dû au mouvement continuel entre l'aspect sombre des CHOSES du monde et celui positif de ces mêmes CHOSES, entre l'ombre et la lumière.
Parme Ceriset se conduit comme une grande aventurière, une exploratrice. Elle explore la VIE, l'UNIVERS, non d'une manière superficielle, mais en profondeur. Avec son piolet, ses mots, elle détruit les obstacles, les surmonte, trace les voies qui serpentent les ténèbres de la vie faites d'inconnues, d'incertitudes.
Au-delà de cette analyse, Parme Ceriset dresse son portrait, elle se dévoile, se met à nu, pas de provocation mais ce n'est pas anodin si elle usite des mots simples car elle aime la clarté, la transparence. Après les difficultés graves rencontrées par l'auteure, on ne peut pas se contenter du superficiel, la clarté, la transparence sont des impératifs. Ce mouvement perpétuel lui a permis de créer son UNITÉ, son UN, son ÊTRE, et c'est grâce à cette création que Parme Ceriset a gagné ses combats qu'elle nous relate, avec ses mots, son style, qui lui servent de supports de LEÇON DE SAGESSE pour mieux saisir la vie, qui lui permettent d'établir une analyse pointue.
Parme Ceriset est une aventurière qui explore la grotte, la caverne, l'auteure emploie ce dernier mot, l'obscurité qui est à l'intérieur de chacun d'entre nous, qu'elle ose explorer, qu'elle a le courage d'explorer, ce qui l'autorise à parler comme elle le fait. Parme Ceriset est en quête du SAVOIR. »

RETOUR DE LECTURE DE FRANCIS GONNET, poète et ami de l'auteure sur les réseaux sociaux :

"J'ai lu, avec plaisir, le beau recueil de Parme CERISET « le souffle de l’ame sauvage » qui vient de paraitre aux Editions « Le lys bleu ». Je me suis laissé emporter par ces poèmes dont les mots célèbrent la vie : même si « on entend la mort qui craque sous les dents… » qu’elle vous frôle de son aile, même si la fragilité fait vaciller la lumière, « le vent balaye la poudre des instants… » et on accueille « … pas à pas la lente respiration du silence… » conscient d’un souffle si précieux, comme une « sève qui sourit aux éclats du vivant… ». La louve sauvage et libre aspire la vie et « croque le soleil… » comme elle a « mordu la mort ». Une belle leçon d’espérance, de liberté…de vie. Merci Parme pour cette belle lecture en cadeau."

RETOUR DE LECTURE DE CARMEN PENNARUN, poétesse et amie de l'auteure sur les réseaux sociaux.

Je vous livre mes impressions après la lecture du recueil de poésie de Parme Ceriset « Le souffle de l’âme sauvage », publié aux éditions Le Lys bleu.

La vie souffle le froid puis le chaud, l’espoir après la douleur, mais l’aube vient toujours après la nuit, elle « scintille dans sa robe transparente / D’un incomparable éclat d’éternité ». Les ténèbres, quand « croque la mort sous les dents », ne peuvent nous figer au point qu’on ne parvienne pas « à conquérir notre part de rêve ». Est-ce à cette reconquête que nous invite l’auteur ? La femme poète sait entendre les voix de la nuit mais elle sait aussi tendre l’oreille au souffle du silence car la vie respire à l’extérieur de nous autant qu’elle circule dans nos veines. La nature est omniprésente et c’est en chacun de nous qu’elle résonne. Parme traduit en vers libres cette musique qu’elle perçoit. La vie accueille en soi (autant qu’au dehors) les constellations d’étoiles, les torrents des montagnes ; elle est la soif et son étanchement, sans début ni fin. Le lecteur suit des yeux l’âme qui court sur les terres fertiles. Ces fugues ont la couleur et le goût des baies mûres, et chaque poème est une récolte de fruits dont le parfum sauvage s’élève en éternité de sensations. Lorsqu’on lit la poésie de Parme on participe à un voyage, dont le départ nous renvoie à l’aube de la vie sur Terre et se poursuit jusqu’à toucher le tremblement des étoiles. On se sent appartenir à la nature, mais cette conscience de l’état sauvage est fortement enracinée dans l’amour universel, dans sa dynamique et chaque être est convié à éprouver l’équilibre entre le Yin et le Yang dans la force et la fluidité de l’instant. Le destin de chacun se vit dans la conscience de l’appartenance à cet instant et à tout ce qui le compose, le rapprochant autant de la nature que des animaux ou de ses frères en humanité. Ces poèmes sont d’un lyrisme vibrant, ils portent une voix de femme qui a dépassé le seuil où l’on pense que la mort arrête les destinées. Poésie de gratitude et d’espérance, les vers jaillissent comme cris sauvages quand ils ne sont pas louanges pour ce souffle promis depuis l’enfance mais qu’un premier cri ne suffit pas toujours à installer. Parme parle d’osmose, de cette liberté que nous avons de l’éprouver dans une nature à préserver… en cela ses poèmes contiennent des paroles de sagesse que les peuples premiers, tout comme les protecteurs de la planète - que nous devenons tous actuellement – ne peuvent qu’approuver.

« Le souffle de l’âme sauvage » est un livre précieux qui m’a profondément touchée.

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Carmen Pennarun

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Un poème du recueil :

Rugir en surgissant d’une nouvelle chrysalide,

En déchirant la peau de tous les impossibles,

Savourer la lumière crue à coups de crocs,

Mordre dans les ténèbres et leur arracher le cœur,

Rire et rugir de soleil,

S’abreuver aux rivières des apollons,

Etre fauve de bonheur.

Parme Ceriset

RECENSION PAR ANNIE FOREST-ABOU-MANSOUR DANS L'ECRITOIRE DES MUSES :Recension ecritoire des muses le souffle de l ame sauvage

 

Voici de courts extraits de cette magnifique chronique et le lien vers l’article :

« Une femme totale...

La poétesse est Femme absolue (...) Femme–fleur, fragile et forte à la fois (...) toujours confiante en la vie malgré les difficultés. Partie intégrante de la nature, prenant le passé pour racine, pont entre le passé, le présent et l’avenir, (...)Femme-louve, une part d’animalité l’habite, ce côté authentique, sincère, plein de verve de l’animal (...)

Femme libre, elle dépasse ainsi le temps, l’espace et la mort.

Femme unique et universelle honnissant l’hypocrisie, pour qui l’authenticité, la liberté sont fondamentales (...)

Elle chante la fraternité et la beauté de la différence (...) »

Pour lire la chronique dans son intégralité, cliquer sur le lien ci-dessous :

https://www.lecritoire-des-muses.fr/le-souffle-de.../...


 

Article sur la plateforme littéraire Plimay à propos du recuel "Le Souffle de l'âme sauvage" de Parme Ceriset

Recueil chapeau

Retours de lecture sur le recueil "N'OUBLIE JAMAIS LA SAVEUR DE L'AUBE - Une Amazone contre la mort de Parme Ceriset, Ed. BoD, 2019

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RECENSION DANS LA CAUSE LITTERAIRE (par Patrick Devaux) : 

Une recension magnifique à lire au lien suivant, sur le site de La Cause littéraire : 

https://www.lacauselitteraire.fr/n-oublie-jamais-la-saveur-de-l-aube-parme-ceriset-par-patrick-devaux

ARTICLE ETABLISSANT UN PARALLELE ENTRE LA POESIE DE PARME CERISET ET LES TOILES DE VAN GOGH :

Parme Ceriset et Vincent Van Gogh - Si l'art était conté... (httpsilartetaitconte.com)

 

Parme et van gogh

CHRONIQUE DANS PLIMAY par le poète Julien Miavril, magnifique recension publiée également sur la plateforme littéraire Plimay :

Ce recueil « N'oublie jamais la saveur de l'aube » de Parme Ceriset, conçu avec force et selon des cycles qui se font secrètement écho, est tout entier placé sous le signe de la quête initiatique. Et si les chemins sont multiples qui peuvent conduire à la terre promise puis à l' « Eden primordial », il n'en reste pas moins que celui de l'amour est seul à offrir un horizon de joie perpétuelle. Il est celui qui nourrit et aimante toute l'épopée poétique de Parme. Il est celui en qui tous ses pas se défont ou se fondent. le vibrant éclair qui fait trembler l'édifice tranquille de la conscience humaine, et qui rappelle au devoir de faire « acte de résistance ».
Cette résistance est à l'oeuvre tout au long du recueil et prend ainsi différentes formes. Elle prend tout d'abord corps dans ce serment fidèle fait à l'aube de se souvenir de la lumière qu'elle déverse amoureusement dans le monde. Vivre devient un commandement, un impératif catégorique qui prend bien souvent les traits d'une « rage » insolente et libre. Il s'agit d'un corps à corps avec la mort qui nous intime de jouir de chaque instant qui compose notre séjour terrestre. La parole qui s'y déploie singulièrement est celle d'une « louve » qui ne renonce jamais. Et même la présence de ces « héros solaires » et hyperboréens, veilleurs imprécatoires, ne suffit pas à contenir cette rage dans sa puissance de déploiement fatal :
« Alors je redeviendrai cette louve enragée errant
au hasard de la nuit,
Je guetterai l'arrivée de la mort,
Je mordrai dans sa chair infâme
De mes crocs acérés (…)
Avec un acharnement démesuré. »
L'Éros même ne se donne que dans sa flamboyance nue et sa sauvagerie primitive. Il rythme de son feu le combat acharné de la poétesse :
« Là est l'Éros véritable,
Celui qui rayonne
D'un éclat irrésistible et sauvage,
Pareil à un loup. »
Très vite, la poétesse nous narre sa traversée du gouffre et de la nuit. Sa vision de l'idéal prend la forme d'une célébration de tous ses compagnons d'âme, d'armes et de larmes. de même, elle s'exprime sous la forme de la sororité. Solidarité mythique et poétique est ainsi rendue à ces « soeurs amazones », soeurs de joie et de combat, en lutte pour faire de la bataille pour la vie et pour l'art une véritable profession de foi, un sacerdoce brûlant et constant. Hommage est également rendu à tous ces êtres qui l'ont accompagné sur le chemin de la guérison, au temps où la maladie rôdait autour de son « lit de mort ». Ainsi de ce « frère de l'ombre » dont le sacrifice d'amour exemplaire est superbement célébré. Ainsi également de cet Ange gardien qui offre réssurection et révélation sur les rives de l'au-delà que la poétesse a effleurées.
Et c'est bien dans « une quête du sens » que se trouve formulé le voeu de recourir à la lumière des étoiles. Au coeur de l'abîme, elles scintillent afin d'éclairer celle qui tâtonne dans l'obscurité et y cherche un nouveau visage. le passé s'actualise alors dans une temporalité comme suspendue, et qui est celle des résurrections cycliques propres « aux braises de l'espoir-phénix ». La nostalgie pour tous les êtres aimés s'exprime alors sous la forme de l'élégie. L'amour devient ce « chemin qui conduit irrésistiblement » au coeur vivant et vibrant de l'amour. Et dans une alternance de poèmes rimés à la métrique vigoureuse et rigoureuse, et de poèmes plus « libres », la poétesse nous délivre un seul et même message : fais le pari de vivre et alors, l'amour éclairera autant ton chemin de braises que ton « torrent de feu ».
Aucune compromission n'est alors permise sur ces routes escarpées du temps :
« Certains voudront t'aider mais en t'asservissant,
En ferrant à ton âme leur sceau rougeoyant,
Ne signe tes écrits que de ton propre sang,
N'appartiens qu'à toi-même et au souffle du vent. »
Mais toutefois, l'idéal d'un amour pur et absolu n'est jamais loin :
« Leur osmose porte la robe d'émeraude
D'une étoile qui danse au coeur de l'infini »
Et bien vite, il se réalise dans la quête de la « liberté libre » pour reprendre les mots de Rimbaud. L'espoir vif, la rage de vivre, la foi en un amour éternel et immortel sont autant d'étendards qui émergent du combat pour une vie délivrée de tout mensonge et de tout artifice. Ils deviennent proclamation de la victoire des forces de vie et de lumière sur celles du chaos, du « non-sens et de la mort ». Ils deviennent résistance en acte pour un surcroît d'amour, de vie et d'intensité. Et ils chantent le retour d'une aube salvatrice venue pour installer un soleil nouveau dans le monde. le recueil de Parme recèle ainsi de superbes trésors poétiques qui se glanent à l'orée du gouffre. Il nous invite à reprendre espoir sur notre chemin de lutte, et à résister à l'emprise fatale de la mort. Enfin, il dit la merveille d'aimer et d'être aimé comme gage d'une éternité possible et ressentie dans un seul et même instant qui se répète sans jamais trahir son secret."

Lien vers la chronique sur la plateforme littéraire Plimay :

https://plimay.com/limmemoriale-saveur-de-laube/

RETOUR DE LECTURE DE FRANCOIS GOBLET, poète et membre de la Société des Poètes Français :

"N'oublie jamais la saveur de l'aube de Parme Ceriset ou mon voyage d'une journée en pleine contrée de poésie magnifique. Des vers ciselés avec un art extrême et à chaque poème une explosion de joie, de vie, d'amour et de vérités profondes. Ici s'invite la vie en toute sa poésie, en toute simplicité et avec de merveilleux échos. Comment ne pas penser à Andrée Chedid en lisant ce remarquable ouvrage ? Une bible de la joie de vivre, de la résilience ( nous avons plusieurs naissances dans notre vie), la joie du jour qui s'en vient et de toutes les promesses de l'aube qui ne nous mentiront pas. Un livre exceptionnel de lumières auprès duquel je m'endors chaque soir et m'éveille chaque matin dans la splendeur réconciliée du grand Tout de nos vies, de la vie. Une grande âme pour une magnifique poésie."

RETOUR DE LECTURE DE JEAN-MARIE MARCEL DARNIS, historien et ethnologue (retour publié également sur babelio) :

"Le style et la lecture de ce recueil de 365 pages broché glacé agrémenté d'une illustration d'aurore, "N'oublie jamais la saveur de l'aube" sont fluides et aérés, avec des mots structurés qui enrichissent les thèmes successifs de l'auteur. Une jeune femme de douleur et de tendresse vraies, profondément nostalgique mais éternellement optimiste. L'expression de vérité, l'auteur la doit assurément à une providentielle "fatalité" qui présida à sa propre destinée, en particulier, celle de sauver la poésie, dans une période où l'art meurt d'artifice. D'ailleurs, cette fatalité est évoquée dans le recueil. Ces vers, qui pour certains atteignent au plus haut degré de beauté, ont je ne sais quel mystérieux caractère de nécessité. Il me semble qu'ils sont comme autant de réponses péremptoires aux nombreuses questions que chacun se pose à lui-même, à savoir des réponses inspirées. D'autre part, les vers exposés rendent si justement les sons d'une âme, parfois si singulièrement aussi le son de cette âme ! C'est aussi spontané que la musique envolée d'un concerto, tel le rire des enfants. Manifestement, l'auteur adore le monde antique grec et latin, le vrai, qu'elle ressent tel qu'il lui est révélé aujourd'hui. L'auteur semble retrouver un temps perdu en s'y mirant. Rien que le titre montre la volonté et la grâce vitale d'une tradition qui confère sans nul doute à la vérité son caractère universel."

RETOUR DE LECTURE DE TIA BES, poétesse, avis publié aussi sur babelio : 

" Il souffle comme un vent de Liberté !
"N'OUBLIE JAMAIS LA SAVEUR DE L'AUBE ”, le fabuleux recueil de poésie de Parme est près de moi et ne me quitte plus.
J'ai voulu lui rendre mon humble petit hommage. Voici mon retour et mes ressentis :
Dès les premiers vers, je me suis abreuvée comme par enchantement à toutes ces gouttes de rosée, à la saveur de ton aube poétique. de l'insouciance enfantine à l'adolescence, à ces journées d'hier qui "s'évaporent" dans des parfums de framboises et des cris de moineaux, au souffle combatif qui tient en haleine, ma lecture a parcouru l'insouciance des jeunes années, les brumes de la souffrance, l'intensité d'une vie qui se fane peu à peu. Mais la vie a des ailes. "Les braises de l'espoir" renaissent sous l'écume d'une mer vivifiante fouettée par les embruns de la marée tonifiante. Parme le sait, "ces regards disparus" vont la hanter, la porter comme "une guerrière" sur le chemin de la liberté, vers un arc-en-ciel aux couleurs de la lumière. Ce recueil a des ailes. Elles nous soulèvent, nous emportent toujours plus haut, hument les nuages pour mieux respirer l'éclat du ciel. Insaisissable femme-oiseau, comme Toi, j'ai entendu "le cri des étoiles". "Guerrière de l'ombre", tendre Amazone aux "perfusions d'arc-en-ciel", tes veines nous offrent des bouffées de rêve et de liberté. Rose épanouie à la fleur de l'aube, j'ai goûté à ta potion de vie magique et je m'en réjouis aujourd'hui. Doux pétales au parfum d'étoiles sans épines, passion brûlante, ton récit nous ouvre tous les souterrains de la "Vie" et ses éclats D'OR.
Tia Bes qui n'oubliera jamais la saveur de ton Aube...
Merci Parme Ceriset ! 
Je me suis littéralement envolée avec vous !

RETOUR DE LECTURE de Francoise Plassiard, poétesse et amie de l'auteure sur les réseaux sociaux :

"Parme chevauche la vie en Amazone de la poésie. Sa plume est légère, tout en grâce et sobriété, chaque page est bordée d'éclats de rêve et de couleur où tromphent la lumière et l'espoir. Ses aubes couvertes d'or et de roses sont belles et précieuses. Parme nous émerveille à chaque poème."

RETOUR DE LECTURE de Mireille Dalest (amie de l'auteure sur les réseaux sociaux) :

"Chaque page est un espoir avec une myriade de lumières. Un vrai bonheur dans une détente sereine. J'aurais grand plaisir à les lire à haute voix."

RETOUR DE LECTURE de Brigitte D., talentueuse pastelliste et amie de l'auteure sur les réseaux sociaux : 

"Votre recueil de poèmes est magnifique. Il retrace votre douloureux combat contre la maladie. mais même des moments les plus tragiques émane une grande force vitale et beaucoup d'espoir. Et puis, les images fortes évoquées à travers les poèmes réflètent le Bonheur, de la couleur, de la flamme, des métaphores, l'ardeur et la passion. C'est très beau et émouvant. Ce livre dévoile peu à peu une partie de votre personnalité tout en gardant le mystère sur tout ce qui touche à l'intime. Bravo encore. Je vous souhaite beaucoup de succès."

RETOUR DE LECTURE DU POETE ROBERT NOTENBOOM :

"N'oublie jamais la saveur de l'aube" de Parme Ceriset est un livre magnifique. Si j'étais de ceux qui donnent des conseils, je conseillerais de l'acquérir. Je l'aurais lu d'une traite bien qu'il fût très épais, mais il me fit tant pleurer que je dûs m'arrêter. Tant de choses en commun avec Parme ! La maladie, l'Amour, la volonté de vivre tout de même,  malgré tout !"

RETOUR DE LECTURE de Paul CROZET-FOURNEYRON, poète et ami de l'auteure sur les réseaux sociaux :

En lisant les poèmes de Parme Ceriset, nous pouvons relever une étroite relation entre ses écrits et la peinture, la musique, la photo. Le poème st une peinture de la pensée. Nous voyons un ensemble de couleurs, aussi variées que les paysages dans lesquels elle se promène. Toutes ces couleurs, ces nuances, s'assemblent pour former un arc-en'ciel, signe d'un ensemble harmonieux. Parme met sur le papier ce que le peintre fait en peinture. Les poèmes de Parme Ceriset sont des partitions musicales. Elle aborde le monde qui l'entoure par le son, les mots, le rythme de ses textes qui écrivent des pages musicales. Grâce à une succesion de photographies, Parme décrit son paysage intérieur, en levant le voile avec discrétion. Ce paysage façonné par la vie, mais aussi par sa volonté sans faille, produit des fruits dont chaque lecteur peut savourer la délicatesse et le goût. Au-delà de l'aspect littéraire, ses poèmes nous apprennent que le s vrais combats ne se déroulent pas en surface mais dans les profondeurs de nous-mêmes, et que l'on ressort toujours vainqueur si l'on ose les affronter en face à face. Pour ce faire, l'auteure utilise beaucoup de symboles qui transcrivent ses paysages intérieurs, metteuse en scène, elle met en relation un monde sensible, celui de la réalité, avec celui ultrasensible, à savoir celui idéal."

RETOUR DE LECTURE DE CARMEN PENNARUN, poétesse et amie de l'auteure sur les réseaux sociaux : 

"Un livre où les fleurs poussent, abondantes. un livre pour humer et savourer la vie. Les étoiles tombent et fleurissent dans le désert, sur les glaciers. Leurs couleurs atteignent les coeurs les plus désséchés. Chaque mot tente de repulper la chair de l'espérance. Les mots ont beaucoup de vitamines à nous apporter."

RETOUR DE LECTURE DE FRANCETTE LEGUEN, poétesse et amie de l'auteure sur les réseaux sociaux :

"Ton recueil est un livre de vie. C'est un recueil de poésies qui est le livre de ta vie, façonné à l'encre de l'espoir, mais aussi parfois du désespoir, mais l'espoir ne naît-il pas du désespoir ? Ta vie racontée en poésies, chose assez rare d'ailleurs, est une vie d'épreuves d'où tu ressors plus forte que jamais. Tes cris, parce que ce sont des cris que j'ai entendus, je les ai entendus dans chacun de tes poèmes dorés à l'or fin, d'une beauté extrêmement belle, raffinée, et cela même dans les moments les plus doumoureux. Ta poésie est là, toujours, et pas de sensiblerie aucune. Ta plume qui habille de bleu les matins de l'enfance, et fait chanter tous les oiseaux de lumière, ta plume qui est une respiration dans le jardin de l'aube. Tes poèmes sont, pour reprendre les mots de ton recueil "des pépites d'aurore", des "braises de miel". Ils donnent à ceux qui les lisent l'envie d'aller toujours plus haut, l'envie de ne jamais oublier la "saveur de l'aube". L'Amour est plus fort que tout, c'est aussi ce qui forme les piliers de ton recueil. Avec cet amour, tout est possible et nous en avons la preuve dans chacun de tes poèmes, l'amour que tu portes aux autres et celui que tu reçois."

RETOUR DE SANDRINE B., poétesse et amie de l'auteure sur les réseaux sociaux :

"Une tranche de vie merveilleusement bien contée au travers d'écrits et poèmes, retraçant le combat d'une fabuleuse guerrière nommée Parme, pour une vie, sa vie, et aussi un magnifique message d'espoir pour les malades, avec une joie de vivre indéfectible !"

RETOUR DE BRUNO MABILLE (auteur de "A celle qui s'avance" / Gallimard) : 

 

Chère Parme, je viens de terminer ma lecture de « N’oublie pas la saveur de l’aube ». D’abord, avant toute chose, un mot s’impose dans votre recueil, c’est l’Eden (avec aussi l’éternité et l’espoir), l’Eden perdu qui est à retrouver. Il y a dans ce recueil un avant, un pendant et un après votre greffe et vos séjours à l’hôpital, et je l’ai lu comme votre propre « recherche du temps perdu » où le temps est ici synonyme de l’Eden. Sinon, ce que je vous ai écrit à propos de « Femme d'eau et d’étoiles », je pourrais le reprendre pour « N’oublie pas la saveur de l’aube ». Il y a en effet une indéniable continuité entre les deux livres. Ces deux recueils sont cependant bien différents, ne serait-ce que parce que du temps a passé et que vous avez pris avec « Femme d'eau et d’étoiles » davantage de recul par rapport à ce que vous avez vécu . Je dirais que « N’oublie pas la saveur de l’aube » a été écrit davantage « à chaud ». L’ubac et l’adret, votre versant à l’ombre et celui du soleil, dont je vous parlais dans mon précédent commentaire sont plus contrastés encore. On ressent la force de l’angoisse (surtout au début) de même que la vivacité de l’espoir et de votre désir de liberté (qui s’exprime pleinement à la fin). Vous n’êtes pas « une mer calme ». Ce recueil est également plus abondant et foisonnant que le suivant . On ressent chez vous ce très vif désir d’écrire parce que pour vous l’écriture s’associe naturellement à la vie. Elle est comme une façon de se pincer pour s’assurer que vous ne rêvez pas, que vous êtes belle et bien vivante. Votre plume dites-vous est votre « flambeau de liberté ». Vous y expérimentez d’ailleurs toutes les formes, libres, classiques (avec rimes et alexandrins) et proses . Par ailleurs, beaucoup de vos poèmes s’adressent à un Toi dont vous précisez dans vos dédicaces qu’il parlait jadis votre langue et que vous désirez qu’il sache encore la déchiffrer. Ce Toi, vous l’avez aimé, vous avez été complices, vous l’aviez « dans la peau » et il vous a aidé à surmonter l’épreuve. Vous lui en êtes reconnaissante. J’ai même eu l’impression parfois qu’il a pu prendre une dimension supérieure, quasi spirituelle . Mais ce Toi, on ressent aussi que vous avez eu besoin de vous en éloigner, comme s’il était trop lié à l’enfer que vous avez vécu, comme si une rupture était nécessaire pour tourner la page et renaître. Et puis, il semble bien (dites-moi si je me trompe) qu’un nouveau Toi progressivement se substitue au précédent, un Toi « au regard turquoise », qui « s’appelle Espoir » et qui « aux portes de l’enfer » ouvre la possibilité d’une aube, d’une vie nouvelle, d’un Éden retrouvé. Au point d’ailleurs que parfois, au fil du recueil, ces deux Toi se confondent presque … J’ai beaucoup aimé aussi ce que vous dites, dans les parties finales, de la vie, plus forte que la mort, par exemple quand vous parlez des fleurs ou quand vous écrivez « Ainsi va la vie… / Les générations d’humains / Naissent et disparaissent, / Nous sommes tous des coquelicots, / Mais déjà, sur nos tiges, bourgeonnent les pétales / Des vivants de demain, / Ceux qui poursuivront pour nous la grande histoire de l’espoir et du temps ». Avec ces mots, vous nous dites en creux que la mort n’est pas l’envers de la vie, mais plutôt son indispensable composante, celle qui la fait se maintenir et ne jamais cesser. J’aime cette idée (cf mes publications du 26/07 et du 19/07). Enfin, concernant votre titre - j’aurais sans doute dû commencer par là, mais ne porte-t-il pas les tout derniers mots de votre recueil ? - le mot « saveur » invite à la dégustation et aux plaisirs des sens et « l’aube » à l’espoir et à renaître. « L’espoir vient de renaître / au cœur de l’aube » écrivez-vous. Ce titre dit déjà presque tout (ou en tout cas beaucoup) de ce qu’est votre livre. Il me fait penser à un de mes poèmes qui se termine ainsi : « (…) / puis chaque matin / au réveil / quand un nouveau jour commence / on reste un moment stupéfait / de se retrouver vivant / avec cette sensation / qui est une grâce / et une volupté / de se sentir un rescapé ». Très amicalement. Bruno.

 

 

 

 

Cadeau jeanne cascade
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AUTRES OUVRAGES DE PARME CERISET

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Image l amazone terre et coquelicot
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Couverture amazone terre publie recto verso
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RETOURS DE LECTURE SUR LE RECUEIL "FEMME D'EAU ET D'ETOILES" (éditions Bleu d'encre, préface Patrick Devaux)

Affiche bleu nuit et turquoise femme d eau et d etoiles

Retours de lecture ou ressentis sur le recueil de Parme Ceriset "Femme d'eau et d'étoiles" (éditions Bleu d'encre, préface Patrick Devaux) qui a obtenu le prix Marceline Desbordes-Valmore 2021 de la Société des Poètes Français 

« Un chant de vie (...) le livre d’un très grand Amour... »

« Un grand mouvement de liberté... »

« Les étoiles tissent le fil de votre recueil... »

« Un livre écrit par une femme libre, indomptée et aimante... »

« Un très grand Amour qui ne peut être qu’éternel... »

« Flamboyants jeux d’amour », « Femme libre, passionnée... »

RECENSION PAR ERIC ALLARD DU RECUEIL "FEMME D'EAU ET D'ETOILES" dans "LES BELLES PHRASES": 

FEMME D’EAU ET D’ÉTOILES de PARME CERISET, préface de PATRICK DEVAUX (Bleu d’Encre) / Une lecture d’Éric ALLARD – LES BELLES PHRASES (wordpress.com)

LE RETOUR DE LECTURE DE MARTINE ROUHART (recension publiée sur le site de l'AREAW :

https://www.areaw.be/parme-ceriset-femme-deau-et-detoiles-preface-de-patrick-devaux-bleu-dencre-2021/)

« On connaît les souffrances traversées par Parme Ceriset sauvée par une greffe des poumons après plusieurs années passées sous oxygène. Ce recueil revient sur ce long épisode, sur « les tuyaux de plastique (qui) reliaient nos âmes d’ange », sur la mort frôlée de si près qui lui avait donné rendez-vous.

Mais ce livre est surtout un merveilleux chant à la vie. Le témoignage d’une renaissance après une âpre bataille dont elle est sortie victorieuse. « Je reviens du néant/et ma peau se teinte de vie ». La vie, pressante, intense, palpite en effet à chaque page et donne comme une envie de danser. « Je suis une femme/née sous le signe d’une différence, une fleur parme dont la seule arme/est la passion de vivre ».

C’est aussi le livre d’un très grand amour, même si l’on pressent que cet amour-là est maintenant derrière elle ; même si « je ne t’aperçois plus dans les replis soyeux des nuages fuyants ». Car elle lui conserve une gratitude immense, « A Toi qui jadis me portais/sur ton dos, au pied des glaciers/lorsque la vie s’enfuyait/de mes veines essoufflées… ». « Je n’ai plus de désir/pour mon premier amour/mais j’ai pour lui/l’amitié étoilée des jours enfuis ». Un livre rempli de lumière et d’espérance.

L’important, c’est que Parme Ceriset est là, avec nous, « lumineuse, immortelle éphémère ». Ce qui compte, maintenant, c’est « Marcher pieds nus dans les étoiles/sur ce tapis de lapis-lazuli/étincelant d’espoir, /s’allonger dans l’herbe folle, /boire la rosée du matin,/et se demander si cette pureté existera/ encore…/Demain »."

Martine Rouhart."

LE RETOUR DE LECTURE DE CARMEN PENNARUN :

"Un bel objet, ce recueil écrin à poèmes de Parme ! En première de couverture une encre représente une sirène sortant de l’onde. Les lignes nettes du croquis annoncent des vers d’une grande pureté. Des mots, tantôt fluides comme l’eau, tantôt puissants comme flamme, réaffirment le goût de la vie, de l’amour créateur, de sa force reconnue. Réveillée ? Un grand souffle anime tout le recueil.

« Lève –toi

comme le soleil se lève,

en roi de l’horizon,

une sphère rouge à la place du cœur…

Et marche… »

La vie manifestée est en osmose avec l'univers et le tout, au gré du vent, des flots et des saisons, malgré les épreuves qui ne sont qu’une occasion de réaffirmer « le pacte avec l’espoir». Car il y a de l’espérance, elle coule du début à la fin du livre, elle a la constance de l’Amour, elle ne peut que renaître de la terre même qui est le corps de l’Aimée et vibrer en harmonie avec la nature terrestre et le cosmos étoilé.« Femme d’eau et d’étoiles » est un livre écrit pour un amour d’une grande présence, qui ne peut être qu’éternel… mais il s’adresse à tous les amours, possibles. Un livre écrit par une plume libre, indomptée et aimante, par une femme, une amazone, une guerrière.

« Certes je suis une femme

mais je suis Capitaine

Capitaine de ce royaume

…Capitaine et soldat de lumière

…»

De bien beaux poèmes attendent le lecteur !

Carmen Pennarun"

RETOUR DE LECTURE DE BRUNO MABILLE (auteur notamment de « À celle qui s’avance » (Gallimard).

« L’amour omniprésent » (...)

« Les étoiles tissent le fil de votre recueil.... »

Voici donc le beau ressenti de Bruno Mabille :

« Chère Parme,

Merci de m’avoir accueilli dans votre univers que j’ai eu beaucoup de plaisir à découvrir en lisant « Femme d’eau et d’étoiles ».

Beaucoup de remarques et d’impressions me sont venues à la lecture. Je vous les livre en vrac, en désordre, comme elles viennent justement .

1 / De ce néant très prégnant, de cette mort que vous avez côtoyée, il me semble (et pardon du jeu de mots) que vous n’en revenez pas d’en être revenue. Il y a dans vos mots comme un étonnement d’en avoir réchappé, d’être une rescapée .

2 / Cet enfer que vous avez vécu, vous avez besoin de l’interroger, de le sonder, de le comprendre pour mieux vous en extraire. « N’est fort que celui qui a affronté le gouffre / et pansé ses failles » dites-vous à la fin de votre livre (p139).

3 / A vous lire, je suis frappé par le souffle qui vous porte et porte vos mots . Un formidable souffle. Je ressens, après 4 ans sous oxygène, le besoin que vous avez de respirer a plein poumon sans assistance, d’humer l’air et d’en jouir, d’en profiter et de l’emmagasiner au maximum.

4 / il me semble aussi qu’il y a deux versants dans votre poésie, un ubac et un adret. D’un côté le néant, la mort, le cauchemar et de l’autre la vie, la renaissance et le souffle retrouvé. Votre poésie balance entre ces deux pôles avec un balancement bien plus fort vers le second.

5 / Il y a l’amour aussi, omniprésent . Entre les lignes, je comprends qu’il y a celui d’avant qui vous a aidé et a contribué à votre sauvetage. Et puis il y a celui d’aujourd’hui, de maintenant , dont vous attendez qu’il vous aide à « régler vos comptes avec la mort » et « avec la vie ». Cela reste à faire et vous comptez sur lui.

6 / Quant au titre, « Femme d’eau et d’étoiles » : les naufragés et les rescapés connaissent bien l’eau qui les prend et les secoue, et ses vagues de fond. « C’est la colère des flots / qui m’a ramenée sur la rive » dites-vous encore . Les marins aussi puisque « Capitaine » vous êtes. Mais les marins et les Capitaines connaissent aussi les étoiles. Ils en connaissent les chemins (cf une de mes Hypnoses). Et c’est vrai que les étoiles tissent le fil de votre recueil . Elles sont partout et fixent les repères. J’aime notamment ce vers unique (p45) : « La nuit dort dans son manteau d’étoiles ».

Voilà, je me suis régalé à vous lire et vous en remercie .

Bien amicalement.

Bruno »

LA MERVEILLEUSE RECENSION DE MON RECUEIL PAR JEANNE ORIENT :

“Comprends moi, roi des nuits

J’ai un compte à régler avec la vie”

Parme Ceriset est médecin. Elle est poète aussi. Elle a surtout dû attendre une greffe lui permettant de “reprendre vie”.

Il y avait cette maladie qui l’étouffait, ce carcan qui l’empêchait de respirer et cette attente.

L’attente de cet autre qu’elle ne connait pas, qui va mourir et lui “transmettre” la vie

Dans ce recueil de Parme Ceriset, *Femme d’eau et d’étoiles” aux Editions Bleu d’encre, j’ai retrouvé une femme libre, amoureuse, en mouvements mais aussi en demande, en douce supplique de vie.

Ce recueil est d’une infinie beauté. Peut-être cette musique qui semble nous emporter au fur et à mesure de la joie de vivre de Parme :

- “S’allonger l’âme au vent/au coeur des pâturages/parler au fleurs des prairies/aux neiges éternelles/se dire que l’été est immortel”

Et puis, elle semble se retourner pour regarder en arrière. Comme pour évaluer la distance entre elle et elle.

Celle d’avant qui a tenu bon pour que celle d’aujourd’hui puisse rire courir les verts pâturages, respirer et chanter l’ amour et sa sensualité :

- “J’embrasserai un jour toutes les lignes d’horizon. Je vivrai mille existences, mille idylles d’un soir, j’aurai pour moi tous les amours, tous les pouvoirs”

Ce recueil pourrait sembler comme tous ces écrits magiques de rescapés, de naufragés qui reviennent à la vie et qui exultent cette joie de vivre. Cela l’est bien sûr mais il y a autre chose...

Parme est médecin comme nous l’avons dit. Elle garde lucidité.

Et c’est dans cet espace si petit, si intime, où se loge une petite musique alerte, qu’il y a les plus beaux passages de cette “Femme d’eau et d’étoiles”.

L’auteure a choisi les éléments et les astres pour donner à son écriture une forme d’éternité.

Elle a choisi les mots qui ne s’arrêtent nulle part, quoi qu’il arrive, car ils survivent à tout. Des mots comme rivière, aube, vent, souffle, infini...

“Elle s’inscrit dans le creux du monde, et c’est cela qui nous bouleverse”

Parme Ceriset écrit pour “vivre”. Pour embrasser la vie.

Pour l’amadouer un peu, pour lui rappeler combien elle était en manque.

Il faut l’écouter cette belle, ne rien lui reprendre et la laisser dans cette presque extase :

- “Etre là, lumineuse, immortelle éphémère...”

Alors “Roi des nuit” ?

Ecoute Parme Ceriset te défier et aussi t’implorer :

“Comprends moi, roi des nuits

J’ai un compte à régler avec la vie”

Jeanne Orient

Parme Ceriset, *Femme d’eau et d’étoiles*, Editions Bleu d’encre, préface de Patrick Devaux

 

RETOUR DE LECTURE D'AGNES KOUASSI :

« Ta poésie est passion, incandescence ,tout comme les volcans, les torrents, la nature tout entière que tu aimes tant !

L'amour, la joie... la Vie!

C'est magnifique ! »

Agnès Kouassi

RETOUR DE LECTURE DE FRANCETTE LEGUEN :

"Tu clames haut et fort ta renaissance dans un style qui t’appartient et reconnaissable entre mille. Ton écriture si poétique, avec tes métaphores sublimes font de ton recueil un joyau. Il n’y a pas une seule page où la poésie est absente. Tu y as mis toute ton âme, ta sensibilité, ton courage durant cette période que fut ta première vie. Tu es cette amazone qui s’est battue et se battra jusqu’à la fin. Tu as rencontré la mort comme tu l’écris (p44), tu l’as défiée, tu l’as vaincue : tu « reviens du néant », et tu portes désormais la VIE en étendard : « Alors, j’ai épousé la liberté de vivre » (p68), de cette vie que tu dois à ton donneur et à tes deux amours : celui d’hier et celui d’aujourd’hui. Quand on aime la poésie et la vie, on ne peut qu’aimer ce recueil qui les chante toutes deux. "

Francette

 

LE RETOUR DE LECTURE DE FRANCOIS GOBLET  :

"Flamboyants jeux d'amour hors de nuits de nos jours , voila tel que je ressens le nouveau recueil de mon amie Parme Ceriset " Femme d'eau et d'étoiles " préfacé par le très réputé Patrick Devaux aux éditions Bleu d'encre ; une cascade de grands et beaux sentiments et toute la furia d'une esthète et poète qui ne se cache pas pour le clamer au monde entier à la façon d'une salvatrice météore dans nos nuits et nos journées bien moroses et j'aime ce romantisme pur et décomplexé de pleine féminité en une époque ou la femme se relève et se révèle libre , passionnée et aimante , ; en lisant je sens bien cet eden du Vercors et la transcendance après toutes les épreuves , ce coeur de femme assoiffée de vie et de partage , prolixité et richesse d'un lexique qui convoque à lui toutes les forces cosmiques de la renaissance et de la passion à son plus haut degré ; vraiment un très bel ouvrage de ma si chère consoeur de la SPF qui éclaera encore de soleil dans bien de nos nuits enténébrées et ça fait vraiment du bien de nos jours. »

François Goblet, Société des Poètes Français.

LE RETOUR DE LECTURE DE FRANCOISE PLASSIARD :

"Dans cette nouvelle odyssée "Femme d'eau et d'étoiles" Parme se métamorphose en sirène. Ses mots voluptueux irrigués par se passion de la vie ont couleur d'amour et d'espoir. Sur la mer, le bateau de l'écriture poursuit sa route au plus près de la vague, avec élégance et subtilité, précipitant les démons vers les écueils pour les noyer, vaincre avec courage, savourer sa renaissance et "N'être plus qu'une femme d'eau et d'étoiles". On se réjouit de sa lumière."

Françoise Plassiard

RETOUR DE LECTURE DE PAUL CROZET- FOURNEYRON :

« Ce recueil est sublime, on quitte la sphère des ritournelles amoureuses, en effet ces poèmes ne reposent pas sur l'Amour, mais sur un désir profond qui va donner naissance à un immense mouvement de liberté; ce qui implique une fuite dans l'Ailleurs. Les mots usités par Parme résonnent dans le silence du mysticisme. À mon sens, ce recueil s'articule autour d'un conflit, d'un côté, ce qu’est l’auteure, le MOI, de l'autre une petite voix, une ombre, qui est à l'opposé du MOI, qui la conseille; en conclusion ses mots placent la situation actuelle dans ce conflit, partir ailleurs. Le point fort qui imprègne le chemin de la destinée est mis en exergue par l'auteure, dès le premier poème : « tu étais un enfant », cette parole jette les dés de la destinée.. Après l'enfance vient l'adolescence que les phénomènes du temps effacent. L’auteure va rencontrer les vicissitude de la prison de la santé. Elle n'est point seule, un visiteur assidu ne l’oublie point, il la réconforte, la protège; de l'adolescence on devient adulte, et à ce moment là on prend rendez vous avec la vie et la mort. L'auteur porte, en elle, cette Chose, celle qui lui a redonné la vie, je parle de la greffe, qui a lui permis de prendre conscience des hautes valeurs qui guidaient celui qu’elle ne pouvait quitter du regard. Avec le temps, Parme a envie de suivre un autre sente. Une question existentielle se pose : elle ne peut délier les attaches qui unissent la Chose - l'Amour - Parme. Elle a des principes, et elle ne dérogera pas à ces derniers : la solution choisie est une fuite, pas celle de la lacheté, ce n'est pas le caractère de l'auteure, mais celle qui lui permettra de conserver la beauté inoubliable, et principalement morale de son Amour, donc c'est une fuite vers l'Ailleurs, qui permet de projeter cet Amour là où la beauté est reine, l'univers. Parme fait appel à Nathanel, elle parle de l'apocalypse, qui va entrainer une séparation; c'est à dire qu’elle continue de donner à son Amour la beauté morale dont il est porteur, tout en se séparant de lui, et donc elle retrouve sa liberté, son identité de femme, sa personnalité, elle retrouve sa féminité, son corps, son féminin, sa chair, femme des sources. Le recueil présente deux cotés : un avant - un après. Ce dernier c'est le récit d'une transformation; Parme est devenue femme, elle souhaite maîtriser le cours de sa vie, elle agit avec bravoure, le bien-aimé de l'après n'aura plus le même rôle que celui de l'avant; l'auteure réorganise sa structure intérieure sentimentale. Par ses mots Parme nous informe qu'elle vient de gravir une marche supplémentaire qui s'appelle : méditation, pour atteindre la plateforme de la brillance où règne la sagesse. D'autre part, grâce à ces poème Parme clame haut et fort que si la parole a créé l'homme, cette même parole a créé sa nouvelle vie. Non ce ne sont pas des mots d'amour, ces derniers contiennent la substance sur laquelle s'appui la grandeur, la beauté des hautes valeurs qui lui permettent de reprendre sa Liberté. Ce recueil de Parme a quitté le cadre étriqué dans lequel la poésie a tendance à enfermer. Ce recueil est profondemment humaniste, elle a construit son ouvrage en empruntant les dimensions qui structurent l'être humain : celle culturelle, celle spirituelle, morale, celle sociale, celle affective. Bravo à l'auteure, et que le soleil fasse grandir très longtemps les fruits de sa pensée. »

Paul Crozet-fourneyron.

RETOUR DE LECTURE DU POETE FRANCIS GONNET

Quelle force et quelle vie dans le nouveau recueil de Parme Ceriset : « Femme d’eau et d’étoiles », qui au bord du vide, renait d’un souffle d’écume, jusqu’à se sentir « eau vive » et qui, de la nuit, n’en garde que les étoiles. Femme au soleil de l’espoir, qui « cueille sa liberté dans le mistral » et met sur nos « chemins des perles de lumières ». Ouvre les yeux / le paysage respire autour de toi / toute la fraicheur vaporeuse du matin / Comme promesse chaque jour renouvelée ».

RETOUR DE LECTURE D'ALAIN ROUSSEAU :

"Bonsoir Parme. c'est avec plaisir que j'ai lu ton recueil "Femme d'eau et d'étoiles". les trois premiers poèmes m'ont tout de suite saisi car j'ai compris que presque tout était dit pour permettre ensuite pénétrer ta poésie éclatante de vie avec ses dits et ses non-dits... passionnés comme ce "torrent...amoureux" au point d'atteindre "les ténèbres pour en faire des bouquets de lumière" cette lumière qui colore tant des tes poèmes comme une "flamme libre" ou libérée. En conclusion je retiendrai  cette "saveur de liberté"  qui te permet de te "fondre au temps "jusqu'à pouvoir affirme ce "nous sommes vie" que je retiendrai comme étant ta devise fondamentale. Je te relirai avec plaisir, sois en sûre !  Merci !"

RECENSION PAR DENIS BILLAMBOZ (CRITIQUE LITTERAIRE) SUR LE SITE CRITIQUES LIBRES :

« Parme, la couleur éponyme dont elle aime à parer les cieux et les ondes, (...) a hanté les frontières de la vie aux confins de la mort (...) elle est eau, elle est ciel, elle est paysage, elle est flore, …, elle est courage, elle est résilience, elle est émotion, elle est sensibilité, elle est sensualité, elle est la vie (...)

(Extrait du retour de lecture de Denis Billamboz, critique littéraire, publié notamment sur le site Critiques Libres :

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/61628...)

aussi au lien suivant :

Femme d’eau et d’étoiles – Parme Ceriset | Mes impressions de lecture (unblog.fr)

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RESSENTI DE FRANCOISE POURCHET, auteure : « Parme, je savoure vos mots transcrivant l'indicible expérience au commun des mortels qui ne savent en goûter la substance. Vivre avec autant d'intensité n'est en rien folie ce n'est que conscience de l'essentiel !!! Mes mots retrouvent à votre lecture des voies oubliées dans ce monde dur comme fer. »

(Extrait du ressenti de Françoise Pourchet, auteure française)

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RECENSION PAR ANNIE FOREST ABOU MANSOUR DANS L'ECRITOIRE DES MUSES 

« Les poèmes en vers libres ou en prose de Parme Ceriset immergent le lecteur dans un espace poétique d’étoiles et d’eau, de fleurs et de fruits, de lumière et de fluidité dont « les étoiles de mer » salvatrices réunissent ce qui ne peut être réuni : le monde aquatique et le monde céleste. »

(...) « Aphrodite surgissant des flots, nue comme une étoile dans un drap de brume », sirène unissant l’eau, la terre et le ciel, Amazone combattante et triomphante (« Je me sens des combats / qui me firent Amazone, / je me sens du courage / qui brille et qui trône / au dessus de nos vies »), « une guerrière de l’espoir », une louve libre , une « Femme universelle... »

(Extrait de la recension d’Annie Forest Abou Mansour, critique littéraire, dans l’Écritoire des Muses. Pour lire la suite de l’article, cliquer ici :

https://www.lecritoire-des-muses.fr/femme-deau-et-detoiles/

RECENSION PAR ERIC ALLARD DU RECUEIL "FEMME D'EAU ET D'ETOILES" dans "LES BELLES PHRASES":

FEMME D’EAU ET D’ÉTOILES de PARME CERISET, préface de PATRICK DEVAUX (Bleu d’Encre) / Une lecture d’Éric ALLARD – LES BELLES PHRASES (wordpress.com)

Retour de lecture de Nourredine Ben Bachir, poète et auteur, sur le recueil "Femme d'eau et d'étoiles" de Parme Ceriset :

Il arrive que le lyrisme ne soit pas exubérant mais porteur d'un élan puissant. J'ai eu plaisir à lire Femme d'eau et d'étoiles de Parme Ceriset.

Flux de vie, robe de miel, parure marine de l'instant : tel est le monde de celle jetée dans le combat de vivre, échouée et sauvée sur l'une de ces plages accidentées de l'existence. Dette de vie si bien assumée qu'elle n'en dissipe aucune des formes de la mélancolie : aussi bien celle du labyrinthe et de l'abîme, que celle, plus heureuse, quand elle est notre source et notre ligne d'horizon nous rendant capable de croquer dans le fruit limité de la vie sans lui faire reproche de ce qu'il est.

Ecriture fluide et en élan, d'un poème à l'autre fusant comme des souffles de choses et de lumières, pour échapper au corset métallique d'un respirateur autrefois gardien et geôlier d'une vie.

Comme l'écrit Parme : "Goûter la vie comme un fruit, une cerise"

Qu'elle soit remerciée de ce salut et de cet accueil qu'elle fait à notre bien le plus précieux.

Ça fait du bien de ne pas oublier la pulsion de vie dont l'autre nom est amour.

Éditions Bleu D'encre

Prix Marceline Desbordes-Valmore

Retour de lecture d'Alexandra Desguine :

Une poésie empreinte d’espoir, de force et de sensualité.

Celle d’une femme libre qui chevauche la vie en amazone.

Sous chaque mot, une lumière d’autant plus belle qu’elle provient de l’ombre des épreuves traversées.

Témoignage bouleversant et magnifique hymne à la vie et à l’amour.

 

Extrait :

 

N’être plus que le chant de l'eau et des rivières

et les plumes d'oiseau qui voguent dans le vent

et le parfum des fruits qui distille l’Éden,

n'être plus que le souffle qui berce les herbes

et le soleil enfin qui luit dans ton regard

et la saveur de l'aube cueillie sur tes lèvres…

Être là, lumineuse, immortelle éphémère.

Parme Ceriset

« Femme d’eau et d’étoiles »

éditions Bleu d’encre, préface Patrick Devaux, octobre 2021

prix Marceline Desbordes-Valmore 2021

 

LIVRE D'OR 

Livre d or femme d eau et d etoiles 1

 

RESSENTIS SUR LE RECUEIL "FEMME D'EAU ET D'ETOILES" de Parme Ceriset (Ed. Bleu d'encre)

« Ce livre est surtout un merveilleux chant à la vie. Le témoignage d’une renaissance : « Je reviens du néant/et ma peau se teinte de vie ». La vie, pressante, intense, palpite en effet à chaque page et donne comme une envie de danser (...) C’est aussi le livre d’un très grand amour (...) « A Toi qui jadis me portais/sur ton dos, au pied des glaciers/lorsque la vie s’enfuyait/de mes veines essoufflées… »

(Extrait de la recension de Martine Rouhart, poète et auteure belge, sur le site de l’AREAW : https://www.areaw.be/?s=Femme+d’eau+et+d’étoiles)

 

"Voici une poésie ardente, charnelle, d’aube et de lumière, une poésie lumineuse qui prend sa source dans l’obscur de la terre, marquée du sceau de la souffrance comme de celui du « suprême éveil » aux merveilles du monde !"

(Extrait de la recension d'Eric Allard dans Les Belles phrases)

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« Les mots, tantôt fluides comme l’eau, tantôt puissants comme flamme, réaffirment le goût de la vie, de l’amour créateur, de sa force reconnue. Un grand souffle anime tout le recueil (...) Femme d’eau et d’étoiles » est un livre écrit pour un amour d’une grande présence, qui ne peut être qu’éternel… mais il s’adresse à tous les amours, possibles (...) Un livre écrit par une plume libre, indomptée et aimante, par une femme, une amazone, une guerrière. »

(Extrait du retour de lecture de Carmen Pennarun, poète et auteure française )

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« À vous lire, je suis frappé par le souffle qui vous porte et porte vos mots (...) Il me semble aussi qu’il y a deux versants dans votre poésie, un ubac et un adret. D’un côté le néant, la mort, le cauchemar et de l’autre la vie, la renaissance (...) Il y a l’amour aussi, omniprésent. Entre les lignes, je comprends qu’il y a celui d’avant qui vous a aidé et a contribué à votre sauvetage. Et puis il y a celui d’aujourd’hui, de maintenant, dont vous attendez qu’il vous aide à « régler vos comptes avec la mort » et « avec la vie » (...) Quant au titre, « Femme d’eau et d’étoiles » : les naufragés et les rescapés connaissent bien l’eau qui les prend et les secoue, et ses vagues de fond. « C’est la colère des flots / qui m’a ramenée sur la rive » dites-vous encore . Les marins aussi puisque « Capitaine » vous êtes. Mais les marins et les Capitaines connaissent aussi les étoiles (...) Et c’est vrai que les étoiles tissent le fil de votre recueil . Elles sont partout et fixent les repères. J’aime notamment ce vers unique (p45) : « La nuit dort dans son manteau d’étoiles ».

(Extrait du retour de lecture de Bruno Mabille, poète et auteur de "À celle qui s'avance", Gallimard)

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« Parme Ceriset est médecin. Elle est poète aussi. Elle a surtout dû attendre une greffe lui permettant de “reprendre vie »(...) Dans ce recueil de Parme Ceriset, j’ai retrouvé une femme libre, amoureuse, (...)Ce recueil est d’une infinie beauté. (...)Peut-être cette musique qui semble nous emporter au fur et à mesure de la joie de vivre de Parme (...) Et puis, elle semble se retourner pour regarder en arrière. Comme pour évaluer la distance entre elle et elle. Celle d’avant qui a tenu bon pour que celle d’aujourd’hui puisse rire courir les verts pâturages, respirer et chanter l’ amour et sa sensualité :

- “J’embrasserai un jour toutes les lignes d’horizon. Je vivrai mille existences, mille idylles (...) L’auteure a choisi les éléments et les astres pour donner à son écriture une forme d’éternité. Elle a choisi les mots qui ne s’arrêtent nulle part, quoi qu’il arrive, car ils survivent à tout. Des mots comme rivière, aube, vent, souffle, infini (...) Elle s’inscrit dans le creux du monde, et c’est cela qui nous bouleverse (...) Alors, Roi des nuits, écoute Parme Ceriset te défier et aussi t’implorer :

« Comprends moi, roi des nuits

J’ai un compte à régler avec la vie”(...)

(Extrait de la recension de Jeanne Orient, Femme de lettres)

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« Ta poésie est passion, incandescence, tout comme les volcans, les torrents, la nature tout entière que tu aimes tant ! L'amour, la joie .. la Vie!

C'est magnifique ! »

(Ressenti d’Agnès Kouassi, auteure, après lecture de mon recueil )

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«Tu clames haut et fort ta renaissance dans un style qui t’appartient et reconnaissable entre mille. Ton écriture si poétique, avec tes métaphores sublimes font de ton recueil un joyau. Il n’y a pas une seule page où la poésie est absente. (...) Tu es cette amazone qui s’est battue et se battra jusqu’à la fin. Tu as rencontré la mort comme tu l’écris (p44), tu l’as défiée, tu l’as vaincue : tu « reviens du néant », et tu portes désormais la VIE en étendard : « Alors, j’ai épousé la liberté de vivre » (p68), de cette vie que tu dois à ton donneur et à tes deux amours : celui d’hier et celui d’aujourd’hui. »

(Extrait du retour de lecture Francette LeGuen, poète française)

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"Flamboyants jeux d'amour hors de nuits de nos jours , voila tel que je ressens le nouveau recueil de mon amie Parme Ceriset " Femme d'eau et d'étoiles " préfacé par le très réputé Patrick Devaux aux éditions Bleu d'encre (...) toute la furia d'une esthète et poète (...) une salvatrice météore (...) libre, passionnée et aimante , en lisant je sens bien cet eden du Vercors et la transcendance (....) la passion à son plus haut degré (...) vraiment un très bel ouvrage de ma si chère consoeur de la SPF qui éclairera encore de soleil dans bien de nos nuits enténébrées et ça fait vraiment du bien de nos jours. »

(Extrait du retour de lecture de François Goblet, poète et Société des Poètes Français)

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« Ses mots voluptueux irrigués par se passion de la vie ont couleur d'amour et d'espoir. Sur la mer, le bateau de l'écriture poursuit sa route au plus près de la vague, avec élégance et subtilité, précipitant les démons vers les écueils pour les noyer, vaincre avec courage, savourer sa renaissance (...) On se réjouit de sa lumière."

(Extrait du retour de lecture de Françoise Plassiard, poète française)

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« Ce recueil est sublime (...) un désir profond qui va donner naissance à un immense mouvement de liberté (...) Les mots usités par Parme résonnent dans le silence du mysticisme. (...) Parme fait appel à Nathanel, elle parle de l'apocalypse, qui va entrainer une séparation; c'est à dire qu elle conserve de son premier Amour la beauté morale dont il est porteur, tout en se séparant de lui, et donc elle retrouve sa liberté, son identité de femme, sa personnalité, elle retrouve sa féminité, son corps, son féminin, sa chair, femme des sources. »

(Extrait du retour de lecture de Paul Crozet-Fourneyron, poète et passionné de psychologie humaine )

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« Quelle force et quelle vie dans le nouveau recueil de Parme Ceriset : « Femme d’eau et d’étoiles », qui au bord du vide, renait d’un souffle d’écume, jusqu’à se sentir « eau vive » et qui, de la nuit, n’en garde que les étoiles. Femme au soleil de l’espoir, qui « cueille sa liberté dans le mistral » et met sur nos « chemins des perles de lumières ». Ouvre les yeux / le paysage respire autour de toi / toute la fraicheur vaporeuse du matin / Comme promesse chaque jour renouvelée ».

(Ressenti après lecture de Francis Gonnet, poète français)

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« Les trois premiers poèmes m'ont tout de suite saisi car j'ai compris que presque tout était dit pour permettre ensuite pénétrer ta poésie éclatante de vie avec ses dits et ses non-dits (...) passionnés comme ce "torrent...amoureux" au point d'atteindre "les ténèbres pour en faire des bouquets de lumière" cette lumière qui colore tant des tes poèmes comme une "flamme libre" ou libérée. En conclusion je retiendrai cette "saveur de liberté" qui te permet de te "fondre au temps "jusqu'à pouvoir affirme ce "nous sommes vie" que je retiendrai comme étant ta devise fondamentale. »

(Ressenti après lecture d’Alain Rousseau, poète français)

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« Parme, la couleur éponyme dont elle aime à parer les cieux et les ondes, (...) a hanté les frontières de la vie aux confins de la mort (...) elle est eau, elle est ciel, elle est paysage, elle est flore, …, elle est courage, elle est résilience, elle est émotion, elle est sensibilité, elle est sensualité, elle est la vie (...)

(Extrait du retour de lecture de Denis Billamboz, critique littéraire, publié notamment sur le site Critiques Libres :

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/61628...)

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« Parme, je savoure vos mots transcrivant l'indicible expérience au commun des mortels qui ne savent en goûter la substance. Vivre avec autant d'intensité n'est en rien folie ce n'est que conscience de l'essentiel !!! Mes mots retrouvent à votre lecture des voies oubliées dans ce monde dur comme fer. »

(Extrait du ressenti de Françoise Pourchet, auteure française)

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« Les poèmes en vers libres ou en prose de Parme Ceriset immergent le lecteur dans un espace poétique d’étoiles et d’eau, de fleurs et de fruits, de lumière et de fluidité dont « les étoiles de mer » salvatrices réunissent ce qui ne peut être réuni : le monde aquatique et le monde céleste. »

(...) « Aphrodite surgissant des flots, nue comme une étoile dans un drap de brume », sirène unissant l’eau, la terre et le ciel, Amazone combattante et triomphante (« Je me sens des combats / qui me firent Amazone, / je me sens du courage / qui brille et qui trône / au dessus de nos vies »), « une guerrière de l’espoir », une louve libre , une « Femme universelle... »

(Extrait de la recension d’Annie Forest Abou Mansour, critique littéraire, dans l’Écritoire des Muses. Pour lire la suite de l’article, cliquer ici :

https://www.lecritoire-des-muses.fr/femme-deau-et-detoiles/

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Extrait du retour de lecture de Nouuredine Ben Bachir (poète et auteur ) :

"Flux de vie, robe de miel, parure marine de l'instant : tel est le monde de celle jetée dans le combat de vivre, échouée et sauvée sur l'une de ces plages accidentées de l'existence. Dette de vie si bien assumée qu'elle n'en dissipe aucune des formes de la mélancolie : aussi bien celle du labyrinthe et de l'abîme, que celle, plus heureuse, quand elle est notre source et notre ligne d'horizon nous rendant capable de croquer dans le fruit limité de la vie sans lui faire reproche de ce qu'il est."

 

Extrait du retour de lecture d'Alexandra Desguine :

"Une poésie empreinte d’espoir, de force et de sensualité.

Celle d’une femme libre qui chevauche la vie en amazone.

Sous chaque mot, une lumière d’autant plus belle qu’elle provient de l’ombre des épreuves traversées.

Témoignage bouleversant et magnifique hymne à la vie et à l’amour."

 

Emissions "Brèves de poésie" de Nicolas Granier en deux parties avec lecture des textes du recueil de Parme Ceriset.

Parme Ceriset se définit comme une "goutte de feu dans l’océan du temps".

Brèves de poésie - Parme Ceriset - Femme d'eau et d'étoiles (1) - YouTube

Article dauphine 2 parme ceeriset bleuFemme d eau et d etoiles fond orange tissu coussin

 

Autres retours sur les ouvrages de Parme Ceriset : critiquesLibres.com : Parme Ceriset

 

Recueils femme d eau et d etoiles sur robe turquoise
Affiche bleu nuit et turquoise femme d eau et d etoiles

Autres retours de lecture sur les ouvrages de Parme Ceriset

Recensions du recueil "Danse ardente" de Parme Ceriset (éditions Grenier Jane Tony, mai 2022) : 

-dans l'Ecritoire des Muses : 

Parme Ceriset : Danse ardente (lecritoire-des-muses.fr)

-Dans le revue Reflet et sur le site de l'AREAW : 

Parme Ceriset Danse ardente éditions Les Chants de Jane (06/2022, 28 pages, 5 euros) | AREAW

 

-Sur le site Les belles phrases par Eric Allard : 

DANSE ARDENTE de PARME CERISET (Les Chants de Jane, Grenier Jane Tony) / Une lecture d’Éric ALLARD – LES BELLES PHRASES (wordpress.com)

 

Imge recueils danse ardente avec cartes

Retour de lecture de "Danse ardente" de Parme Ceriset par la poète Eva Garcia :

La Poésie ardente, puissante, subtile, délicate de Parme CERISET est universelle. Elle épouse une réalité dévastatrice, la guerre qui sévit à nos portes et plus loin encore… « Le soir éclate des vies broyées, des destins tranchés, du sang sur l’asphalte ».

La guerre contre laquelle elle se bat avec ses poèmes en lames de couteaux, en flammes de vie qui célèbrent l’infinie effervescence de la Nature, la jouissance des peaux ambrées, le miracle de l’existence envers et contre tout… « Les bombes se déploient et les amants s’embrasent… Le délice d’une baie framboisée l’emplit d’une joie champagne… Grenades, puissiez-vous n’être que fruits, délices des jardins d’Orient ».

Un cri empreint de sensualité qui saigne et qui écrit avec le velours du cœur le mot LIBERTÉ « Les hommes d’un bord et de l’autre que l’on force à prendre les armes alors qu’ils ne rêvaient que d’amour sur une plage de sable... ».

La mort présente à chaque page, elle la mord, l’étouffe, la poignarde à coup d’amour, de générosité, de fraîcheur d’enfance, de pulsion de vie « pour ne pas laisser triompher la mort, elle qui l’emportera tôt ou tard, elle lui donne du fil à retordre, elle ne lui déroule pas le tapis rouge ».

Ses poèmes comme des drapeaux, des prières « À la vie, éternellement », « Espoirs d’éphémères », « Chants d’étoiles », « Nuit de rubis » …

Une écriture bouleversante, magnifique, qui tisse à chaque mot son fil d’humanité, d’espérance consciente de l’éphémère, de passion pour la vie même dans les circonstances les plus extrêmes. À la fin du voyage « sang rouge pleurant dans la neige », l’héroïne « danse, elle danse encore… éternellement ».

Une *DANSE ARDENTE* enflammée qui vous traverse telle une flèche d’amour, de courage et d’espoir.

Ne passez pas à côté de ce petit bijou !

Parme CERISET a de plus obtenu en 2021, le Prix Marceline Desbordes-Valmore de la Société des Poètes Français pour son recueil *FEMME D’EAU ET D’ÉTOILES* éditions Bleu d'encre.

Recension du recueil "L'Amazone Terre" de Parme Ceriset :

critiquesLibres.com : L'Amazone Terre Parme Ceriset

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